Pendant l'Occupation, Paul Ourliac est directeur de cabinet du secrétaire d’État à l’Éducation nationale et à la Jeunesse du gouvernement de Vichy, Jérôme Carcopino[4].
Paul Ourliac a aussi été conseiller municipal, puis adjoint au maire de Toulouse[5]. Il meurt dans cette ville le , à quatre-vingt-sept ans[1]. Il avait épousé Françoise Binet (1919-2011).
Un prix de l'Académie de législation porte son nom.
Publications
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Paul Ourliac classe ses travaux en 4 axes : histoire du droit français; histoire de l'Église; civilisation méridionale; histoire de l'agriculture et du droit rural. Dans ses analyses, le droit canonique du XVe compte parmi les causes du déclin de la civilisation mériodionale[3].
Droit romain et pratique méridionale au XVe siècle : Étienne Bertrand, Librairie du Recueil Sirey, coll. « Thèses françaises »,
↑ abcdef et gGeorges Le Rider, « Allocution à l'occasion du décès de M. Paul Ourliac, académicien ordinaire », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, , p. 659-662 (lire en ligne)
Paul Ourliac, historien du droit, Service des Presses de l'Université Toulouse 1 Capitole, (ISBN2-909628-51-5)
Jacques Poumarède, « La figure de Paul Ourliac (1911-1998), un homme du Midi », dans Jean-François Courouau et Hélène Débax (dir.), Cent ans de recherches méridionales à Toulouse : l’Institut d’études méridionales (1914-2014), Toulouse, Presses universitaires du Midi, coll. « Méridiennes », , 420 p. (ISBN978-2-8107-0550-4), p. 194-203