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Lors du congrès extraordinaire du , Mondher Thabet est élu secrétaire général en remplacement de Béji ; les membres du nouveau bureau politique sont Mohamed Anis Lariani, Larbi Ben Ali, Abderrahmène Mlaouah, Jamaleddine Ben Yahia, Mourad Maâtoug, Mohamed Chiheb Lariani, Tahar Kéfi et Mohsen Nabli.
En , le parti organise un colloque sur la relation entre la culture et le changement démocratique[2].
À l'occasion du congrès du qui suit la révolution, Thabet est élu au poste nouvellement créé de président et Nabli au poste de secrétaire général[3]. Plus tard dans l'année, Hosni Lahmar prend les rênes du parti[4].
Par la suite, le parti s'oppose à la politique restrictive des libertés de Kaïs Saïed en signant en un pacte républicain avec trois autres partis et plus de 100 personnalités[5].
↑(ar) « تونس: إطلاق جبهة «الميثاق الجمهوري» من أجل الاستحقاق الرئاسي المقبل » [« Tunisie : lancement du front de la « Charte républicaine » pour la prochaine présidentielle »], Al-Quds al-Arabi, (lire en ligne, consulté le ).