Motif : quelle notoriété de cette femme politique d'extrême-gauche, qui n'a comme seul mandat d'élue d'être conseillère régionale d'Occitanie ? Pas assez de sources secondaires sur Internet.
Elle est professeure d’histoire-géographie en lycée professionnel[3], et travaille depuis plusieurs années au lycée Bellevue de Toulouse[4]. Elle est également professeur de lettres[5].
Le , Myriam Martin accède avec Christine Poupin au porte-parolat du Nouveau Parti anticapitaliste, en remplacement d'Olivier Besancenot. Ce dernier ayant annoncé en son intention de ne pas se présenter à l'élection présidentielle de 2012, Myriam Martin fait partie des militants pressentis pour représenter le parti lors de ce scrutin[7], jusqu'à la désignation de Philippe Poutou. Après avoir combattu en interne la campagne de Philippe Poutou, elle démissionne de son poste de porte-parole en pour soutenir la candidature de Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) à la présidentielle[8] puis se met en retrait du NPA[9].
Entrée au Front de gauche
Myriam Martin annonce son départ pour intégrer le Front de gauche (FG) le [10].
Lors des élections régionales de 2015 en Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, elle se présente sur la liste « Nouveau Monde en commun » (EÉLV - FG) menée par Gérard Onesta, qui arrive en 4e position à l'issue du premier tour. Elle est élue conseillère régionale à l'issue du second tour, sur la liste « Notre Sud en commun » issue de la fusion de sa liste avec la liste « Notre Sud » de Carole Delga (PS). Elle préside la commission éducation et jeunesse[12].
Aux élections régionales de 2021 en Occitanie, Myriam Martin est à la tête d'une liste soutenue par La France insoumise (LFI), le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) et la Gauche démocratique et sociale (GDS)[15]. Sa liste obtient 5,1 % des suffrages et ne fusionne avec aucune autre liste en vue du second tour.