Durant le mandat de son frère, une commission de surveillance télévisuelle fut mise en place : la RTC[1], équivalent mexicain du CSA en France. Elle en devint la présidente et prit ainsi le contrôle de la télévision publique, du cinéma mexicain et de la majeure partie des médias. Elle fut également directrice de la chaine de télévisionCanal 13 pendant deux ans[2]. Cette nomination fut polémique et la gestion de Margarita López Portillo critiquée. On lui reprochait notamment d'attacher davantage d'importance à l'image de son frère président qu'à la progression de l'industrie cinématographique[3]. Selon les témoignages, Margarita López Portillo était une personnalité capricieuse, intéressée, corrompue et même néfaste[4].