Depuis 1992, Amoakohene enseigne aux étudiants divers aspects des relations publiques, des méthodes de recherche qualitative et de la communication de masse à l'université du Ghana[2],[4]. Elle a été activement engagée dans plusieurs aspects de la vie universitaire et nationale, notamment en siégeant aux conseils d'administration de la Commission nationale des médias, de l'Agence de presse du Ghana, de la Ghana Broadcasting Corporation et du National Film and Television Institute(en)[2]. L'Institut des relations publiques du Ghana en a fait une secrétaire honoraire et vice-présidente en reconnaissance du rôle important qu'elle a joué dans l'avancement des relations publiques au Ghana[2]. En 2010, elle a été nommée directrice par intérim de la School of Communication Studies de l'Université du Ghana[5].
Haut-commissaire au Canada
En 2006, le président John Kufuor a nommé Amoakohene à la tête de l'ambassade du Ghana au Canada en tant que haut-commissaire[6],[7]. Elle a officiellement commencé sa responsabilité diplomatique le 26 septembre 2006 lorsqu'elle a présenté ses lettres de commission à la gouverneure générale du Canada, Son Excellence Michaëlle Jean, à son bureau provincial officiel et à sa résidence à La Citadel à Québec[8],[9]. En tant que haut-commissaire, elle s'est lancée dans certaines activités philanthropiques, dont l'une consistait à faire don d'équipement médical à l'hôpital de Nsawkaw[10]. Elle a été le deuxième haut-commissaire au Canada dans l'administration Kufour et a occupé ce poste de juillet 2006 à février 2009[5],[7].
Conseil d'Etat
En février 2017, le président Nana Akufo-Addo a nommé Amoakohene comme l'un des onze membres du Conseil d'État nommés par le président[11]. Le Conseil d'État, composé de 25 membres, est l'organe consultatif mandaté par la Constitution auprès du président[11],[12],[13].
