Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
L'article doit être débarrassé d'une partie de son jargon ().
Sa qualité peut être largement améliorée en utilisant un vocabulaire plus directement compréhensible.
Discutez des points à améliorer en page de discussion.
La leptine (du grec leptos, mince) parfois dite « hormone de la satiété » est une hormonedigestive peptidique qui régule les réserves de graisses dans l'organisme et l'appétit en contrôlant la sensation de satiété. C'est une hormone anorexigène contrairement aux hormones orexigènes (ghréline, cortisol).
Cette hormone est sécrétée par le tissu adipeux blanc qui, en plus de sa fonction de stockage et de mobilisation des acides gras, possède également une activité endocrine très importante[4]. La leptine est également sécrétée par le tissu adipeux brun[5] (bien que son impact soit minime en raison de la faible proportion de tissu adipeux brun) ainsi que par d'autres tissus ou organes tels que l'estomac, le muscle squelettique, la moelle osseuse …
Historique
L'hypothèse d'une substance pouvant normaliser le poids d'une souche de souris obèse a été suspectée dès 1973[6]. Le gène responsable de sa fabrication a été isolé en 1994[7], permettant sa synthèse un an plus tard[8].
Six récepteurs différents ont été identifiés, appelés Ob Ra-f, le plus étudié chez l'homme étant le type b[10].
Fonctions
Quand des aliments pénètrent dans l'estomac, en une quinzaine de minutes la paroi gastrique sécrète un « flash » (une sécrétion rapide) de leptine qui induit un effet de satiété à trois niveaux :
Elle agit en synergie avec la cholécystokinine sécrétée presque simultanément par le duodénum, autre hormone de satiété dont l'action est plus longue ;
Elle favorise l'absorption intestinale des protéines (en mobilisant un transporteur spécifique des entérocytes) au détriment des lipides, intervenant ainsi dans le contrôle de la prise énergétique ;
La leptine est produite et sécrétée dans la circulation sanguine par les cellules adipeuses (adipocytes)[12] en permanence et en grande quantité, selon le volume du tissu graisseux, permettant d'atteindre un équilibre (le « juste poids », appelé "set point" par les chercheurs).
Sa présence en quantité importante augmente la dépense énergétique en augmentant la production de chaleur par l'organisme (thermogenèse). La cible principale de la leptine est le noyau arqué de l'hypothalamus (certaines sources récentes tendent à démontrer que les récepteurs de la leptine se trouveraient plutôt dans le tronc cérébral où elle intervient sur la sérotonine, un neurotransmetteur). Ce dernier exprime deux neuropeptides orexigènes, le neuropeptide Y et l'AgRP dont la sécrétion est inhibée par la leptine, l'insuline et deux neuropeptides anorexigènes, Proopiomélanocortine (POMC) et CART (en) dont l'expression est stimulée par la leptine et l'insuline[13].
Sur le plan métabolique, une sécrétion importante de cette hormone (induite par une quantité de masse grasse supérieure), induit une lipolyse, inhibe la lipogenèse et augmente la sensibilité à l'insuline. Par ailleurs, elle diminue également la sécrétion en insuline et réduit la néoglucogénèse interprandiale. À l'inverse, le manque de leptine induit une augmentation (via son affinité avec l'alpha msh et le neuropeptide Y) du stockage de masse grasse ainsi qu'une augmentation de l'affinité pour les aliments.
La leptine a également été identifiée comme étant un puissant inhibiteur de la formation osseuse lorsqu'elle est présente en grande quantité, en stimulant la résorption et en déprimant la formation ostéoblastique. À faible dose, elle préviendrait cette perte osseuse.
Il semble qu’il existe une différence sexuée dans la sécrétion en leptine puisqu’à quantité de tissu sous-cutané égale, les adipocytes féminins sécrètent trois fois plus de leptine que les adipocytes masculins.
Leptine et santé
Poids
Une mutation du gène (appelé DB) du récepteur de la leptine entraîne une obésité extrême. Par ailleurs, une mutation du gène de la leptine entraîne le plus souvent la formation d'une leptine[14] inefficiente et serait responsable de près de 3 % des obésités sévères juvéniles. Dans de rares cas, cette mutation peut s'accompagner par un effondrement du taux de leptine[15]. Par contre, dans la plupart des cas, le taux de leptine circulant dans l'organisme reste normal et cette mutation, responsable de la génération d'un gène de la leptine défectueux, ne peut être confirmée que par un diagnostic génétique[16].
Le taux de leptine peut diminuer en cas de régime alimentaire[17], de tabagisme[18]. Il est modifié, dans un sens ou un autre, par divers médicaments[9].
L'utilisation thérapeutique de la leptine pour parvenir à une perte de poids pourrait donner des résultats prometteurs[19].
Maladie d'Alzheimer
La leptine influe sur le développement et l'évolution du cerveau. Elle diminuerait les concentrations de bêta-amyloïde[20], la composante principale des plaques qui se développent dans le cerveau des personnes touchées par la maladie d'Alzheimer. Avoir un taux sanguin de leptine bas prédispose statistiquement quatre fois plus au risque de maladie d'Alzheimer[20]. La leptine pourrait ainsi être un biomarqueur de maladie d’Alzheimer, voire un futur comédicament. Cependant, un bas taux de leptine n'implique pas systématiquement l'apparition d'une démence. L'efficacité supputée de la gestion du taux de la leptine dans la lutte contre la maladie d'Alzheimer reste donc à démontrer.
Autres
Un taux de leptine élevé semble corrélé avec un risque plus important d'infarctus du myocarde[21],[22], et ce, indépendamment du niveau d'obésité[9]. De même, le risque de survenue d'un diabète pourrait augmenter pour la même raison - du moins chez l'homme[23].
Les patients atteints de pneumonie COVID-19 présentaient des niveaux plus élevés de leptine et un rapport adiponectine/leptine plus faible[26].
Son rôle dans les problèmes articulaires et l'obésité
Obésité et arthrose
Il existe un lien étroit entre l'obésité et l'arthrose. L'obésité est l'un des principaux facteurs de risque pouvant être prévenus dans le développement de l'arthrose. On a tout d'abord pensé que la relation entre arthrose et obésité était exclusivement de nature biomécanique, le surpoids favorisant l'accélération de l'usure articulaire. Cependant, on reconnaît aujourd'hui qu'il existe également une composante métabolique, qui explique pourquoi l'obésité est un facteur de risque pour l'arthrose, non seulement pour les articulations qui supportent du poids (par exemple, les genoux), mais aussi pour celles qui n'en supportent pas (par exemple, les mains)[27] . En effet, il a été démontré que la réduction de la graisse corporelle contribue davantage à une réduction de l'arthrose qu'une simple réduction du poids corporel sans perte de masse graisseuse[28]. Ce constat s'explique par le fait que le tissu adipeux libère les substances pro-inflammatoires favorisant le développement de l'arthrose[29],[30],[31],[32],[33].
Ainsi, la production déréglée d'adipokines et de médiateurs inflammatoires, l'hyperlipémie et l'augmentation du stress oxydant systémique sont des conditions fréquemment associées à l'obésité qui peuvent également favoriser la dégénérescence articulaire. De plus, de nombreuses substances régulatrices jouent un rôle dans le développement, l'entretien, le bon fonctionnement des tissus adipeux, du cartilage et des autres tissus des articulations. Les altérations de la production de ces substances peuvent constituer un lien supplémentaire entre l'obésité et l'arthrose.
Leptine et arthrose
Les adipocytes interagissent avec les autres cellules à travers la production et la sécrétion de différentes molécules de signalisation, notamment les protéines de signalisation appelées adipokines. Certaines adipokines peuvent être considérées comme des hormones, car elles régulent les fonctions des organes à distance, et plusieurs d'entre elles sont spécifiquement impliquées dans la physiopathologie de la maladie des articulations. L'une parmi ces adipokines a attiré l'attention du monde de la recherche ces dernières années. Il s'agit de la leptine. En effet, le taux de leptine croît avec l'indice de masse corporelle (IMC) et plus spécifiquement avec la masse grasse. En plus, les personnes obèses ont des niveaux plus élevés de leptine que les personnes non obèses[34]. Chez les personnes obèses, l'augmentation des niveaux de leptine conduit à des réponses inattendues, c'est-à-dire qu'il n'y pas de réduction de l'ingestion d'aliments ni du poids corporel, car il existe une résistance à la leptine[35]. Outre la fonction de régulation de l'homéostasie de l'énergie, la leptine joue un rôle dans d'autres fonctions physiologiques telles que la communication neuro-endocrinienne, la reproduction, l'angiogenèse et la formation d'os. Plus récemment, la leptine a été reconnue comme un facteur de cytokines avec des actions pléiotropiques également dans la réponse immunitaire et l'inflammation[35],[36],[37],[38]. Par exemple, la leptine peut se trouver dans le liquide synovial en corrélation avec l'indice de masse corporelle, et les récepteurs de leptine s'expriment dans le cartilage, où la leptine module et intervient dans de nombreuses réponses inflammatoires et destructrices du cartilage et d'autres tissus des articulations. La leptine est donc un candidat possible pour établir un lien entre l'obésité et l'arthrose, et sert d'objectif putatif pour le traitement nutritionnel de l'arthrose.
Tout comme dans le plasma, les niveaux de leptine dans le liquide synovial possèdent une corrélation positive avec l'IMC[39],[40],[41],[42]. La leptine du liquide synovial est synthétisée au moins partiellement dans l'articulation, et peut avoir son origine en partie dans la circulation. Il a été démontré que la leptine est produite par les chondrocytes, ainsi que par d'autres tissus dans l'articulation, notamment la synovie, les ostéophytes, le ménisque et l'os[39],[40],[43],[44],[45],[46]. Un bloc de graisse infrapatellaire situé hors de la synovie à l'intérieur de l'articulation du genou est adjacent à la membrane synoviale et au cartilage, et a été récemment très apprécié comme source importante de la leptine, ainsi que d'autres adipokines et médiateurs qui contribuent à la pathogenèse de l'arthrose[46],[47],[48],[49].
Le risque de souffrir d'arthrose peut se voir réduit par une perte de poids. Cette réduction du risque est partiellement liée à la diminution de la charge articulaire, mais aussi à la diminution de la masse grasse, de l'adiposité centrale et de l'inflammation de bas grade associée à l'obésité et aux facteurs systémiques.
Ces éléments probants de plus en plus nombreux désignent la leptine comme facteur de dégradation du cartilage dans la pathogenèse de l'arthrose, et comme biomarqueur potentiel de la progression de la maladie, ce qui suggère que la leptine, ainsi que les mécanismes de régulation et de signalisation, peuvent être de nouveaux objectifs prometteurs dans le traitement de l'arthrose, particulièrement chez les patients obèses.
Les personnes obèses sont prédisposées à souffrir d'arthrose, non seulement à cause de la surcharge mécanique, mais aussi à cause de la surexpression de facteurs solubles, tels que la leptine et les cytokines pro-inflammatoires, qui contribuent à l'inflammation des articulations et à la destruction du cartilage. Les personnes obèses sont donc dans une situation modifiée, due à une insuffisance métabolique, qui requiert un traitement nutritionnel spécifique apte à normaliser la production de leptine et à réduire l'inflammation systémique de bas grade, afin de diminuer l'effet nocif de ces médiateurs systémiques sur la santé des articulations.
Il existe des suppléments nutritionnels et des agents pharmacologiques capables de diriger ces facteurs et d'améliorer les deux problèmes.
En tant que médicament
Un analogue synthétique de la leptine existe sous le nom de metreleptine. Cette dernière a été testée dans certaines formes d'obésité avec déficit important en leptine chez l'enfant[50] ou chez l'adulte[51].
Impact du sommeil sur la leptine
Le professeur Cappucio, de l'université de Warwick, ainsi que d’autres études ont montré que la privation de sommeil pouvait conduire à l’obésité. En effet, un manque de sommeil entraîne une production accrue de l'hormone ghréline, qui stimule l'appétit, et causerait également une diminution de la production de leptine[52],[53],[54]. Le sommeil exercerait ainsi une influence sur la sécrétion de ces deux hormones antagonistes.
↑(en) Faming Zhang, Margret B. Basinski, John M. Beals, Stephen L. Briggs, Lisa M. Churgay, David K. Clawson, Richard D. DiMarchi, Thomas C. Furman, John E. Hale, Hansen M. Hsiung, Brigitte E. Schoner, Dennis P. Smith, Xing Y. Zhang, Jean-Pierre Wery et Richard W. Schevitz, « Crystal structure of the obese protein Ieptin-E100 », Nature, vol. 387, no 6629, , p. 206-209 (PMID9144295, DOI10.1038/387206a0, Bibcode1997Natur.387..206Z, lire en ligne)
↑Facteurs génétiques, métaboliques (maladies, médicaments, drogues), psychologiques (stress, troubles des conduites alimentaires), socio-économiques (milieu de vie, éducation alimentaire, sociétés industrielles marquées par une abondance de nourriture et une diminution progressive de la dépense énergétique)...
↑Brennan AM, Mantzoros CS, « Drug Insight: the role of leptin in human physiology and pathophysiology--emerging clinical applications », Nat Clin Pract Endocrinol Metab, vol. 2, no 6, , p. 318–327 (PMID16932309, DOI10.1038/ncpendmet0196)
↑Carole Delavaud, Yves Y. Chilliard et Michèle Guerre-Millo (Quoted), « [https://hal.inrae.fr/hal-02797361/document Leptine, adipokines, hormones digestives et métabolisme énergétique (suite). Master. Master 2 Sciences, Technologies, Santé (STS) mention Nutrition, Santé, Aliments (NSA) (Adipokines et métabolisme énergétique), 2014, 51 diapos. �hal-0279736] » [PDF], sur HAL de l’institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE), (consulté le ), p. 18
↑ a et bWolfgang Lieb et al. ; Association of Plasma Leptin Levels With Incident Alzheimer Disease and MRI Measures of Brain Aging - Revue JAMA. 2009 ; 302(23):2565-2572
↑Federica Tonon, Stefano Di Bella, Fabiola Giudici et Verena Zerbato, « Discriminatory Value of Adiponectin to Leptin Ratio for COVID-19 Pneumonia », International Journal of Endocrinology, vol. 2022, , p. 9908450 (ISSN1687-8337, PMID35529082, PMCID9072020, DOI10.1155/2022/9908450, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Erlangga Yusuf, Rob G. Nelissen, Andreea Ioan-Facsinay et Vedrana Stojanovic-Susulic, « Association between weight or body mass index and hand osteoarthritis: a systematic review », Annals of the Rheumatic Diseases, vol. 69, no 4, , p. 761–765 (ISSN0003-4967 et 1468-2060, PMID19487215, DOI10.1136/ard.2008.106930, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Jeremy Sokolove et Christin M. Lepus, « Role of inflammation in the pathogenesis of osteoarthritis: latest findings and interpretations », Therapeutic Advances in Musculoskeletal Disease, vol. 5, no 2, , p. 77–94 (DOI10.1177/1759720x12467868, lire en ligne, consulté le )
↑R. M. Aspden, B. A. Scheven et J. D. Hutchison, « Osteoarthritis as a systemic disorder including stromal cell differentiation and lipid metabolism », Lancet (London, England), vol. 357, no 9262, , p. 1118–1120 (ISSN0140-6736, PMID11297982, DOI10.1016/S0140-6736(00)04264-1, lire en ligne, consulté le )
↑Timothy M. Griffin et Farshid Guilak, « Why is obesity associated with osteoarthritis? Insights from mouse models of obesity », Biorheology, vol. 45, nos 3-4, , p. 387–398 (ISSN0006-355X, PMID18836239, PMCIDPMC2748656, lire en ligne, consulté le )
↑K. Masuko, M. Murata, N. Suematsu et K. Okamoto, « A metabolic aspect of osteoarthritis: lipid as a possible contributor to the pathogenesis of cartilage degradation », Clinical and Experimental Rheumatology, vol. 27, no 2, , p. 347–353 (ISSN0392-856X, PMID19473582, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Peng-fei Hu, Jia-peng Bao et Li-dong Wu, « The emerging role of adipokines in osteoarthritis: a narrative review », Molecular Biology Reports, vol. 38, no 2, , p. 873–878 (ISSN0301-4851 et 1573-4978, DOI10.1007/s11033-010-0179-y, lire en ligne, consulté le )
↑Robert V. Considine, Madhur K. Sinha, Mark L. Heiman et Aidas Kriauciunas, « Serum Immunoreactive-Leptin Concentrations in Normal-Weight and Obese Humans », New England Journal of Medicine, vol. 334, no 5, , p. 292–295 (ISSN0028-4793, PMID8532024, DOI10.1056/nejm199602013340503, lire en ligne, consulté le )
↑ a et b(en) Roberto Coppari et Christian Bjørbæk, « Leptin revisited: its mechanism of action and potential for treating diabetes », Nature Reviews Drug Discovery, vol. 11, no 9, , p. 692–708 (ISSN1474-1784, DOI10.1038/nrd3757, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Noriyuki Ouchi, Jennifer L. Parker, Jesse J. Lugus et Kenneth Walsh, « Adipokines in inflammation and metabolic disease », Nature Reviews Immunology, vol. 11, no 2, , p. 85–97 (ISSN1474-1741, DOI10.1038/nri2921, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bHélène Dumond, Nathalie Presle, Bernard Terlain et Didier Mainard, « Evidence for a key role of leptin in osteoarthritis », Arthritis and Rheumatism, vol. 48, no 11, , p. 3118–3129 (ISSN0004-3591, PMID14613274, DOI10.1002/art.11303, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bT. Simopoulou, K. N. Malizos, D. Iliopoulos et N. Stefanou, « Differential expression of leptin and leptin's receptor isoform (Ob-Rb) mRNA between advanced and minimally affected osteoarthritic cartilage; effect on cartilage metabolism », Osteoarthritis and Cartilage, vol. 15, no 8, , p. 872–883 (ISSN1063-4584, PMID17350295, DOI10.1016/j.joca.2007.01.018, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Katriina Vuolteenaho, Anna Koskinen, Teemu Moilanen et Eeva Moilanen, « Leptin levels are increased and its negative regulators, SOCS-3 and sOb-R are decreased in obese patients with osteoarthritis: a link between obesity and osteoarthritis », Annals of the Rheumatic Diseases, vol. 71, no 11, , p. 1912–1913 (ISSN0003-4967 et 1468-2060, PMID22689314, DOI10.1136/annrheumdis-2011-201242, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Rajiv Gandhi, Mark Takahashi, Khalid Syed et J. Rod Davey, « Relationship between body habitus and joint leptin levels in a knee osteoarthritis population », Journal of Orthopaedic Research, vol. 28, no 3, , p. 329–333 (ISSN1554-527X, DOI10.1002/jor.21000, lire en ligne, consulté le )
↑N. Presle, P. Pottie, H. Dumond et C. Guillaume, « Differential distribution of adipokines between serum and synovial fluid in patients with osteoarthritis. Contribution of joint tissues to their articular production », Osteoarthritis and Cartilage, vol. 14, no 7, , p. 690–695 (ISSN1063-4584, PMID16527497, DOI10.1016/j.joca.2006.01.009, lire en ligne, consulté le )
↑(en) M. Morroni, R. De Matteis, C. Palumbo et M. Ferretti, « In vivo leptin expression in cartilage and bone cells of growing rats and adult humans », Journal of Anatomy, vol. 205, no 4, , p. 291–296 (ISSN1469-7580, DOI10.1111/j.0021-8782.2004.00333.x, lire en ligne, consulté le )
↑K. Järvinen, K. Vuolteenaho, R. Nieminen et T. Moilanen, « Selective iNOS inhibitor 1400W enhances anti-catabolic IL-10 and reduces destructive MMP-10 in OA cartilage. Survey of the effects of 1400W on inflammatory mediators produced by OA cartilage as detected by protein antibody array », Clinical and Experimental Rheumatology, vol. 26, no 2, , p. 275–282 (ISSN0392-856X, PMID18565249, lire en ligne, consulté le )
↑ a et b(en) Emilie Distel, Thomas Cadoudal, Sylvie Durant et Alexandre Poignard, « The infrapatellar fat pad in knee osteoarthritis: An important source of interleukin-6 and its soluble receptor », Arthritis & Rheumatism, vol. 60, no 11, , p. 3374–3377 (ISSN1529-0131, DOI10.1002/art.24881, lire en ligne, consulté le )
↑S. Clockaerts, Y. M. Bastiaansen-Jenniskens, J. Runhaar et G. J. V. M. Van Osch, « The infrapatellar fat pad should be considered as an active osteoarthritic joint tissue: a narrative review », Osteoarthritis and Cartilage, vol. 18, no 7, , p. 876–882 (ISSN1522-9653, PMID20417297, DOI10.1016/j.joca.2010.03.014, lire en ligne, consulté le )
↑(en) I. R. Klein-Wieringa, M. Kloppenburg, Y. M. Bastiaansen-Jenniskens et E. Yusuf, « The infrapatellar fat pad of patients with osteoarthritis has an inflammatory phenotype », Annals of the Rheumatic Diseases, vol. 70, no 5, , p. 851–857 (ISSN0003-4967 et 1468-2060, PMID21242232, DOI10.1136/ard.2010.140046, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Wang Hui, Gary J. Litherland, Martina S. Elias et Gareth I. Kitson, « Leptin produced by joint white adipose tissue induces cartilage degradation via upregulation and activation of matrix metalloproteinases », Annals of the Rheumatic Diseases, vol. 71, no 3, , p. 455–462 (ISSN0003-4967 et 1468-2060, PMID22072016, DOI10.1136/annrheumdis-2011-200372, lire en ligne, consulté le )
↑Francesco P. Cappuccio, Frances M. Taggart, Ngianga-Bakwin Kandala et Andrew Currie, « Meta-Analysis of Short Sleep Duration and Obesity in Children and Adults », Sleep, vol. 31, no 5, , p. 619–626 (ISSN0161-8105, PMID18517032, PMCIDPMC2398753, lire en ligne, consulté le )
↑Shahrad Taheri, Ling Lin, Diane Austin et Terry Young, « Short Sleep Duration Is Associated with Reduced Leptin, Elevated Ghrelin, and Increased Body Mass Index », PLoS Medicine, vol. 1, no 3, (ISSN1549-1277, PMID15602591, DOI10.1371/journal.pmed.0010062, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Tae Won Kim, Jong-Hyun Jeong et Seung-Chul Hong, « The Impact of Sleep and Circadian Disturbance on Hormones and Metabolism », International Journal of Endocrinology, vol. 2015, , p. 1–9 (ISSN1687-8337 et 1687-8345, DOI10.1155/2015/591729, lire en ligne, consulté le )
Liens externes
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :