En 1827, il importe la lithographie en Chine dans le but de favoriser, par ce biais, la diffusion de la foi catholique[2].
Il est en contact avec Marcellin Jobard au sujet d'un procédé de forage inventé par les Chinois.
Pensant protéger le peuple, Laurent Imbert, Pierre Maubant et Jacques Chastan décident de se rendre aux autorités. Ils sont tous les trois condamnés à mort, et le , décapités au bord d'une rivière dans le lieu-dit Sai-nam-hte[4].
Réactions
Une première mission navale destinée à demander aux Coréens des explications sur le meurtre des trois missionnaires de 1839 fut montée en 1845, puis une deuxième en 1847, qui échoua assez piteusement.
Statue de saint Laurent Imbert devant l’église de Calas (13)
Les cent trois Martyrs de Corée, incluant Laurent Imbert, ont été béatifiés le à Rome par le pape Pie XI et canonisés à Séoul par Jean-Paul II, le , lors de sa visite pastorale[3]. Il s’agit de la première canonisation hors de Rome. Ils sont fêtés le 21 septembre[1].