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1996, Chicoutimi. Les parents de Catherine se séparent le jour de ses 16 ans, à la suite d'une violente dispute. Catherine est bien trop distraite par le beau Pascal pour s'en soucier. Avec ses cheveux à la Mia Wallace et ses bottes rouges, Catherine expérimente, dérape et se perd sous la trame punk rock des années 90.
« Quand j’ai lu le livre, je me suis dit que c’était le livre qui décrivait ma génération et il fallait que j’en fasse un film. Il y avait des références tellement nettes et précises dans le livre. J’avais vraiment envie de porter cette histoire et je ne me sentais pas imposteur parce que c’est exactement ma génération. »
En , Geneviève Pettersen annonce sur son compte Instagram que son livre La déesse des mouches à feu sera adapté au cinéma. Elle annonce par la même occasion que Catherine Léger sera en charge de l'adaptation et Anaïs Barbeau-Lavalette de la réalisation.
Tournage
Plusieurs initiatives sont mises en place lors du tournage pour réduire son l'empreinte écologique. Appuyée par des consultants de l'organisme La Brigade verte, l'équipe réussit « à réduire les déplacements, à favoriser le covoiturage, à encourager le compost et le recyclage. Les restants de la cantine sont envoyés à des banques alimentaires. Pour les costumes, on privilégie les morceaux qui ne sont pas faits en Chine, les matières recyclables ou recyclées. Même chose pour les décors. » Un sceau « tournage écoresponsable » est ajouté au générique de fin[7].
Sortie en France
Le film sort en France le , distribué par Les Alchimistes Films.
Distinctions
Sélection
: Festival international du film de Berlin (Berlinale), catégorie Generation
: le film reçoit 15 nominations au Gala Québec Cinéma, dont Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario, Meilleure direction de la photographie, Meilleur montage et Révélation de l'année pour Kelly Depeault[9].
: le film fait partie des cinq finalistes de la 11e du Prix collégial du cinéma québécois (PCCQ), mais le lauréat, choisi par des étudiants de 53 collèges et cégeps répartis à travers le Québec, est Souterrain de Sophie Dupuis[10].
↑A. B. Makar, K. E. McMartin, M. Palese et T. R. Tephly, « Formate assay in body fluids: application in methanol poisoning », Biochemical Medicine, vol. 13, no 2, , p. 117–126 (ISSN0006-2944, PMID1, DOI10.1016/0006-2944(75)90147-7, lire en ligne, consulté le )