En 1789, il réalise des estampes relatant les événements de la révolution liégeoise, notamment une eau-forte en hommage à Jean-Nicolas Bassenge. Il s’exile à Paris en 1793-1794 ; à son retour à Liège, il est nommé inspecteur des travaux publics.
« Dreppe, Joseph », Dictionnaire des peintres belges (lire en ligne)
Vers la modernité, le XIXe siècle au pays de Liège, catalogue d’exposition (Liège, -), Liège, 2001.
Jean-Luc Graulich, « Un Chat au Tribunal des XXII. Note sur une peinture allégorique de Joseph Dreppe », dans Art&Fact no 15 : Mélanges Pierre Colman, Liège, 1996, p. 166–168.
Jean Puraye, La Fondation Lambert-Darchis à Rome, Liège, 1993, p. 131.