Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Il combat lors de la guerre de 1914-1918 au cours de laquelle il est gazé ; il est cité deux fois.
Ingénieur des Ponts à Laon, il y organise, avec son supérieur Pierre Pène, un service de renseignements de 1941 à ; puis il participe à l'organisation de l’Armée secrète du département de l’Aisne[2] jusqu’en . Recherché par la Gestapo, il continue son activité de manière clandestine à Nancy et devient adjoint du Colonel Grandval, délégué militaire de la région C. Il organise le “Plan vert” (sabotages au moment du jour "J"), et participe ensuite à la guérilla avec les maquis de la Piquante Pierre (Vosges) jusqu’en . Il termine la guerre comme Commandant F.F.I.
↑« Jean Bertin », sur x-resistance.polytechnique.org (consulté le )
↑« Jean BERTIN », sur Musée de l'Ordre de la Libération (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
Jérôme Estrada de Tourniel, « Jean Bertin : Alias Dubourg Rotation », dans Les combattants de l'aube: les Compagnons de la Libération d'origine lorraine, Éd. Serpenoise, , 175 p. (ISBN978-2-87692-956-2), p. 126.