D'autres métaux peuvent être employés comme réducteurs, par exemple l'aluminium, mais le produit obtenu est souvent non stœchiométrique, avec des compositions HfI3,2-3,3 et HfI3,0-3,5[5].
Notes et références
↑(en) William M. Haynes, CRC Handbook of Chemistry and Physics, 97e éd., CRC Press, 2016, p. 105. (ISBN978-1-4987-5429-3)
↑ a et b(en) N. N. Greenwood et A. Earnshaw, Chemistry of the Elements, Butterworth-Heinemann, , 2e éd., 965 p. (ISBN978-0-08-037941-8)
↑(en) Lawrence F. Dahl, Tao-I Chiang, Pyrtle W. Seabaugh et Edwin M. Larsen, « Structural Studies of Zirconium Trihalides and Hafnium Triiodide », Inorganic Chemistry, vol. 3, no 9, , p. 1236-1242 (DOI10.1021/ic50019a008, lire en ligne).
↑(en) R. J. H. Clark, D. C. Bradley et P. Thornton, (2013). The Chemistry of Titanium, Zirconium and Hafnium Pergamon Texts in Inorganic Chemistry. Elsevier. p. 432. (ISBN978-1-4831-5921-8)