Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Titulaire d’un Diplôme d’État d’éducateur spécialisé et d’un DESS en management public, Hervé Féron commence sa carrière en tant qu’éducateur spécialisé auprès d'enfants et de jeunes en difficulté.[réf. souhaitée] Parallèlement, il s'est investi dans le milieu artistique en tant que musicien, parolier, compositeur, acteur et metteur en scène. Il dirige notamment le groupe folk Terrain Vague de 1979 à 1986, qui mêlait humour et chansons d'inspiration sociale[1].
De 1987 à 1998, il est chroniqueur d'actualité sur Europe 1, puis sur Radio France.[réf. souhaitée]En 1991, il fonde les Rencontres Théâtrales de Tomblaine, devenues le festival Aux Actes Citoyens dont il est toujours le Directeur artistique.[réf. souhaitée]
Engagement politique
Hervé Féron entre en politique en 1983, lorsqu'il est élu pour la première fois lors des élections municipales de Tomblaine. Il devient adjoint à la culture en 1991[réf. souhaitée], puis est élu maire de Tomblaine en 2001[2],[3]. Sous sa direction, la commune connaît plusieurs transformations significatives.[réf. nécessaire] Il est réélu à plusieurs reprises : en 2008[4], 2014[5] et 2020[6]. En parallèle de ses fonctions municipales, il est élu député lors des élections législatives de 2007 et réélu en 2012, représentant le groupe socialiste[3],[7],[8],[9],[10].
Hervé Féron est également conseiller général de Tomblaine en 1998.[réf. souhaitée]À partir de 2001, il devient vice-président du conseil général de Meurthe-et-Moselle, chargé des thématiques de la jeunesse, de l’éducation populaire et des sports, auxquelles s’ajoute celle de la Famille à partir de 2004.[réf. souhaitée]
En mai 2024, Féron démissionne de son poste de maire suite à des désaccords avec la préfecture concernant l'accueil des migrants et des gens du voyage[14],[15],[16]. Il a dénoncé ce qu'il qualifie d'« autoritarisme d'État » dans la gestion des affaires locales[15],[17]. Cependant, il a été réélu peu après cette démission[18],[19].