En 1996, Hervé Boullanger est nommé administrateur civil au ministère de l'économie et des finances[7]. De 1998 à 2002, il est conseiller à la représentation permanente de la France auprès de l'Union européenne à Bruxelles[8]. À son retour de 2002 à 2004, il exercera les fonctions de conseiller technique auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie[9] et auprès du ministre délégué au budget et à la réforme budgétaire[10] puis en 2004-2005[11], et 2009-2010[12],[13] de conseiller et directeur adjoint du cabinet du ministre des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l'artisanat, des professions libérales et de la consommation.
Justice et affaires intérieures dans l’Union européenne , Documentation Française[39], Collection réflexe Europe 2002
Les méthodes pour blanchir l'argent sale : comment les reconnaître ? (Revue Francilien no 82, ) ;
Les institutions supérieures de contrôle à l’heure d’une meilleure maîtrise des dépenses publique (revue Géo économie no 67, et revue audit&contrôle internes no 218 février-)[40] ;
Le rapport de la Cour des comptes d’ : l’évolution des finances locales vers une comptabilité en droits constatés certifiée ? (revue française de comptabilité no 471 – et revue Gestion & Finances publiques mars-, p. 34-38) [2];
Les prélèvements fiscaux et sociaux en Allemagne et en France (revue française de comptabilité- no 476 – , p. 32 à 34)
Comptabilité et démocratie (revue française de comptabilité - n°503 p. 36 à 38)[42]
Le rôle des codes de déontologie et de la prévention des conflits d'intérêt [sic] dans la lutte contre la corruption (revue du financier no 235-236 - Volume 41 - Janvier - )
Les techniques de médiation au service de l'audit (CMAP)[43]
La Sagesse du Fonctionnaire (Éditions du 81- juillet 2020)[44],[45],[46],[47],[48]
↑Arrêté du 13 mai 1996 portant affectation (administrateurs civils) (lire en ligne)
↑ a et b« Le Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts Comptables : un organisme au cœur du développement économique - Monde des grandes écoles et universités », Monde des grandes écoles et universités, (lire en ligne, consulté le )
↑Arrêté du 16 juillet 2002 portant nomination au cabinet du ministre (lire en ligne)
↑Arrêté du 15 juillet 2002 portant nomination au cabinet du ministre délégué (lire en ligne)
↑Arrêté du 30 novembre 2004 portant nomination au cabinet du ministre (lire en ligne)
↑Arrêté du 17 juillet 2009 portant nomination au cabinet du secrétaire d'Etat chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services et de la consommation (lire en ligne)
↑xavier@nextinpact.com, « La Cour des comptes épingle la gestion des services publics numériques », nextinpact, (lire en ligne, consulté le )
↑Décret du 12 janvier 1999 portant promotion et nomination dans les cadres des officiers de réserve (lire en ligne)
↑Arrêté du 4 juillet 2006 portant nomination à la Commission nationale des entreprises du patrimoine vivant (lire en ligne)
↑Arrêté du 22 novembre 2005 portant nomination à la Commission des comptes commerciaux de la nation (lire en ligne)
↑Arrêté du 13 mai 2008 portant nomination au conseil d'administration du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (lire en ligne)
↑Arrêté du 4 mars 2008 portant désignation des membres du conseil d'administration de l'Institut national de la consommation (lire en ligne)
↑Arrêté du 22 août 2013 portant désignation des membres du jury du certificat d'aptitude, du certificat préparatoire et de l'épreuve d'aptitude aux fonctions de commissaire aux comptes (lire en ligne)
↑Hervé Boullanger, « les institutions supérieures de contrôle à l'heure d'une meilleure maîtrise des dépenses publiques », Géoéconomie, no 67, (lire en ligne)
↑Hervé Boullanger, « l'audit interne dans le secteur public », la revue française d'administration publique, no 148, , p. 1029-1041 (lire en ligne)