Elle devient à 22 ansstyliste chez Dior puis fonde une société de communication événementielle[1]. En 1996, elle publie Politesse oblige : le savoir-vivre aujourd'hui. Dans les années 2000, elle publie Un jour, mon prince viendra, puis Mon prince est venu : pour un temps, pour longtemps, ou pour toujours ? et d'autres textes à caractère autobiographique aux éditions Jean-Claude Lattès[1].
Elle participe à six éditions du Rallye des Princesses, événement automobile réservé aux femmes au volant de voitures de collection qui traversent la France de Paris à Monaco chaque année au mois de juin. En 2009, elle fait notamment équipe avec Valérie Bénaïm[7].
À la télévision, elle a été invitée plusieurs fois dans les émissions J'y vais, j'y vais pas…, C'est mon choix, etc. Elle est membre du jury de l'élection de Miss France 2003, qui a lieu le et est diffusée sur TF1. Sur la même chaîne, elle a été candidate dans deux émissions de télé-réalité : Fear Factor en 2004 et La Ferme Célébrités en Afrique en 2010, programme dans lequel elle défend l'association Mécénat Chirurgie cardiaque.
Artiste plasticienne, elle a dévoilé au fil de ses toiles et de ses installations son univers créatif fantasque et sa passion effrénée pour la vie. Son moteur est de mettre de « L'art dans la vie, de la vie dans l'art, de la vie dans la vie » et porter haut sa devise : « Rien ne se perd, tout se transforme pour une seconde vie ».
Vie privée
En 1999, elle épouse Alastair Cuddeford. Ensemble, ils ont deux enfants : Allegra et Calixte ; le couple se sépare en [8].
Le , Hermine de Clermont-Tonnerre, victime d'un grave accident de moto, est plongée dans le coma à l'hôpital Bicêtre[6],[11]. Elle meurt à l’hôpital des suites de ses blessures le [12], au Kremlin-Bicêtre[2].
2008 : Comment je suis devenu un supermondain : Rallyes, bottin mondain, bal des Debs… Le parcours très secret des pros de l'incruste, d'Éric Bonnet, Le Rocher, coll. « Document », 210 p. (ISBN978-2-268-06443-7)
↑Eric Hamoir, Qualité princière et dignités nobiliaires: essai comparatif sur les distinctions de dignités au sein du second ordre dans divers pays, Éditions de la librairie encyclopédique, (lire en ligne).
↑E. de Séréville, Fernand de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, Éditions La société française au XXe siècle, Paris, 1975, page 30.