Fait prisonnier en 1940, Devillers obtient sa libération en échange de la promesse de travailler pour les services allemands qui le casent aux messageries Hachette. Une fois par semaine, il effectue une liaison Paris-Vichy-Lyon.
Devillers est arrêté à Lyon par la Surveillance du Territoire, le . Confondu le , il est inculpé le , jugé et condamné à mort le . Le recours en grâce est refusé par le maréchal Pétain le . L'espion est fusillé le , par un peloton de la garnison de Lyon.