Isabelle et Pénélope se désespèrent qu'Alice, leur amie et collègue, s'obstine à rester seule après son veuvage. Elles lui offrent un week-end à l'Hôtel Normandy de Deauville et une entrée à une biennale d'art contemporain.
Ce qu'elles ne disent pas, c'est qu'elles incluent un homme dans le cadeau, homme qui a mission de la séduire juste pour le week-end (grâce aux informations qu'il a sur les goûts d'Alice) et lui redonner envie de rencontrer des hommes par la suite.
Alice rencontre bien un homme à la biennale, mais c'est un galeriste mélancolique et en tombe amoureuse. Il lui prête pour quelques heures un tableau soi-disant sans valeur, mais coté à 50 000 €, juste pour lui faire plaisir. Elle informe ses amies de cette rencontre romantique. Ces dernières, pensant qu'elle est tombée amoureuse du dragueur, préfèrent lui révéler que cet homme n'est là que pour la nuit et que c'est sans lendemain.
En pleurs, Alice ne va pas au rendez-vous suivant donné par le galeriste, sans lui donner de moyen de la joindre et en gardant le tableau « sans valeur ». Elle part rechercher du réconfort auprès du premier venu, qui n'est autre que le dragueur.
Vont s'ensuivre toute une série de quiproquos, rencontres ratées et recherches de personnes allant même jusqu'à l'intervention de la police croyant avoir affaire à une voleuse de tableau.