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Après les élections européennes du , ATAKA, le DPS puis le BSP retirent leur appui à Orecharski. Le , le président de la RépubliqueRossen Plevneliev, constatant l'impossibilité de former une majorité parlementaire, annonce la tenue d'élections anticipées en . Conformément à la Constitution, le président de la RépubliqueRossen Plevneliev confie successivement trois mandats pour tenter de former un nouvel exécutif. Ces trois tentatives se soldant par un échec, il désigne le juriste Bliznashki à la tête d'un cabinet transitoire et dissout le Parlement.
Deux jours après l'assermentation de son exécutif, le chef du gouvernement annonce la désignation d'une ministre sans portefeuille, chargé d'organiser les élections. Cette dernière renonce à ses fonctions au bout de trois jours seulement, le , et le chef de l'État fait savoir qu'il ne souhaite pas la remplacer.
Succession
Au cours des élections anticipées, les Citoyens pour le développement européen de la Bulgarie (GERB) remportent leur troisième majorité relative, dans une Assemblée éclatée marquée par l'émergence de forces populistes. Il obtient de former une coalition avec le Bloc réformateur (RB) et l'Alternative pour la renaissance bulgare (ABV), tout en bénéficiant du soutien sans participation du Front patriotique (PF) et de la Bulgarie sans censure (BBT). Il nomme alors son second cabinet, étant le premier à exercer deux mandats, consécutifs ou non, à la direction du gouvernement bulgare depuis la chute du communisme.