À partir de 1912, il se lie d'amitié avec Romain Rolland[3], qu'il défend pendant la Première Guerre Mondiale contre les articles de la presse nationaliste[4],[5].
Il est proche de Jean-Richard Bloch. En 1913, il participe dans les colonnes de sa revue L'Effort libre à sa recherche de définition d'un art révolutionnaire.
Il est le beau-frère du couturier Paul Poiret (par leurs femmes)[7].
Œuvres
Le parvis de l’église, 1905
Paysage Fluvial, 1906
Portrait de Charles Vildrac, 1913
Portrait d' Andrée Jouve
Femme nue à Sainte-Avoye, 1913
Bibliographie
Bulletin des bibliothèques de France, volume 24, page 308 : Divers portraits de Vildrac restituaient la figure de l'auteur à différentes périodes de sa vie ; citons un portrait de Vildrac par Gaston Thiesson (1913) et un autre portrait par Luc Gerbier son petit-fils (1967).
↑Roland Roudil, « Gaston Thiesson en Suisse aux côtés de Romain Rolland. (septembre 1915-avril 1916) », Études de lettres, no 3, , p. 119–142 (ISSN0014-2026, DOI10.4000/edl.345, lire en ligne, consulté le )