En 1867, Myers publie un long poème intitulé St Paul, et grâce auquel il devient populaire. Celui-ci est suivi, en 1882, par le poème The Renewal of Youth and Other Poems. Myers a aussi écrit un ouvrage de critique littéraire, sur le poète éponyme Wordsworth (1881) et Essays, Classical and Modern (en deux volumes, en 1883), qui comprend un essai sur l'écrivain latin Virgile.
En 1903, après la mort de Myers, son ouvrage Human Personality and Its Survival of Bodily Death est publié. Il comprend deux volumes de 1360 pages qui présentent ses recherches sur l'esprit inconscient (unconscious mind)[4],[5].
En 1880, il épousa Eveleen Tennant avec qui il eut trois enfants, dont le romancier Leo Myers(en) (1881-1944)[2].
Œuvres de Frédéric Myers
Les Hallucinations télépathiques (Phantasms of the Living, 1886) (écrit avec Edmund Gurney[7] et Frank Podmore), trad. Léon Marillier et Charles Richet, Paris, Félix Alcan, coll. «Bibliothèque de philosophie contemporaine», 1891, 452 p.[8]. Chap. 2 la transmission de pensée, 5 transmission des idées et des images, 6 transmission des émotions et des tendances au mouvement, 7 rêves, 8 hallucinations qui surviennent dans l'état intermédiaire au sommeil et à la veille, 14 hallucinations réciproques, 15 hallucinations collectives.
La personnalité humaine, sa survivance, ses manifestations paranormales (Human Personality and Its Survival of Bodily Death, 1903), trad., Alcan, 1905, 440 p.[10]. Chap. 2 les désintégrations de la personnalité, 3 le génie, 4 le sommeil, 5 l'hypnotisme, 6 automatisme sensoriel, 7 fantômes de morts, 8 automatisme moteur, 9 possession, ravissement, extase.
↑(en) Helen Groth, « Subliminal Histories: Psychological Experimentation in the Poetry and Poetics of Frederic W. H. Myers », 19: Interdisciplinary Studies in the Long Nineteenth Century, no 12, (DOI10.16995/ntn.594, lire en ligne, consulté le )