Fils du général Egbert Ludovicus Viel(en), il conserve sa nationalité américaine. Installé en Touraine, il termine sa vie dans le Périgord où ses filles se sont mariées (familles Lavaud, de Laubarède, et les deux frères du Mas de Paysac).
Avec Gustave Kahn, il est l'un des théoriciens du vers libre, dont il est lui-même un fervent pratiquant.
Jean de Cours, Francis Viélé-Griffin : son oeuvre, sa pensée, son art, Paris, Honoré Champion, coll. « Bibliothèque de la Revue de littérature comparée » (no 63), , XXV-242 p..
Henry de Paysac, Francis Vielé-Griffin, poète symboliste et citoyen américain, Paris, Nizet, 1976, 283 p.
Édition de la correspondance
Reinhard Kuhn (éd.), Correspondance avec Francis Jammes, Genève, Droz, 1966.
Correspondance Vielé-Griffin - Ghéon, édition critique établie par Catherine Boschian-Campaner Paris : H. Champion, 2004 (ISBN2-7453-0982-X).
Félix Fénéon. Lettres à Francis Vielé-Griffin (1890-1913) et documents annexe, présentation et annotation par Henry de Paysac, Tusson, éditions du Lérot, 1990, 176 p.