Dessin d'une cellule de Purkinje située dans le cortex cérébelleux, réalisé par Cajal, démontrant clairement le pouvoir de la coloration de Golgi pour révéler les détails les plus fins.
Cette technique de coloration est encore utilisé de nos jours par les neuroscientifiques, entre autres pour étudier la densité en épines dendritiques[1],[2],[3].
↑(en) Guomei Tang, Kathryn Gudsnuk, Sheng-Han Kuo et Marisa L. Cotrina, « Loss of mTOR-Dependent Macroautophagy Causes Autistic-like Synaptic Pruning Deficits », Neuron, vol. 83, no 5, , p. 1131–1143 (DOI10.1016/j.neuron.2014.07.040, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Claudia Fuchs, Laura Gennaccaro, Elisa Ren et Giuseppe Galvani, « Pharmacotherapy with sertraline rescues brain development and behavior in a mouse model of CDKL5 deficiency disorder », Neuropharmacology, vol. 167, , p. 107746 (DOI10.1016/j.neuropharm.2019.107746, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Zubeyde Bayram-Weston, Elliott Olsen, David J. Harrison et Stephen B. Dunnett, « Optimising Golgi–Cox staining for use with perfusion-fixed brain tissue validated in the zQ175 mouse model of Huntington's disease », Journal of Neuroscience Methods, vol. 265, , p. 81–88 (PMID26459195, PMCIDPMC4863524, DOI10.1016/j.jneumeth.2015.09.033, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Fu Du, « Golgi‐Cox Staining of Neuronal Dendrites and Dendritic Spines With FD Rapid GolgiStain™ Kit », Current Protocols in Neuroscience, vol. 88, no 1, (ISSN1934-8584 et 1934-8576, DOI10.1002/cpns.69, lire en ligne, consulté le )