Le Championnat du monde féminin de handball 2021 est la 25e édition du Championnat du monde féminin de handball et a lieu du au en Espagne. Les Pays-Bas, vainqueurs en 2019, remettent leur titre en jeu. Il s'agit de la première édition du championnat du monde de handball féminin à réunir 32 équipes.
La Norvège remporte son quatrième titre dans la compétition en battant en finale la France qui ne sera pas parvenue à réaliser le doublé après le titre olympique remporté 4 mois plus tôt. Grâce à sa victoire face au pays hôte espagnol, le Danemark glane la médaille de bronze, il s'agit de sa première médaille depuis 2013.
en plus de 4 places attribuées pour l'Afrique, pour les Amériques (1 pour la zone Amérique du Nord et Caraïbes et 3 pour l'Amérique du Sud et l'Amérique Centrale), pour l'Asie et pour l'Europe, 12 places dites de « performance » sont offertes aux différents continents en fonction du classement (places 1 à 12) du Mondial précédent ;
0 ou 1 place pour l'Océanie, dans le cas où l'équipe de ce continent termine cinquième ou mieux au Championnat d'Asie ;
1 ou 2 invitation(s) (Wild card), suivant le cas de l'Océanie.
En conséquence du classement final du championnat du monde 2019 (10 équipes européennes et plus du Japon et de la Corée du Sud parmi les 12 premiers), la distribution des 12 places « performance » pour le Championnat du monde 2021 est :
Afrique : 0 place (en plus des 4 places de base) ;
Amériques : 0 place (en plus des 4 places de base) ;
↑ a et bAucune équipe de l'Océanie (Australie ou Nouvelle-Zélande) ne s'étant inscrite au Championnat d'Asie 2021(en) et donc ne pouvant terminer parmi les cinq premiers, une seconde invitation (Wild Card) est distribuée par l'IHF.
↑Privée du Championnat d'Asie 2021(en) en raison des restrictions de voyage liée à la pandémie de Covid-19, la Chine s'est vue bénéficier d'une wild card par l'IHF, récupérant l'une des six places accordées à l'Asie.
À noter que la suédoise Nathalie Hagman a marqué 19 buts sur 21 tirs, soit deux buts de moins que le record établi par la macédonienne d'origine russe Natalia Todorovska en 2005[4].
Durant les 29 premières minutes, la France étouffe la Norvège, l'empêche de marquer durant sept minutes et a plusieurs fois une avance de six buts et plusieurs balles de +7 (15-9 puis 16-10). Mais les Norvégiennes réduisent l'écart à -4 juste avant la pause (16-12). Au retour des vestiaires, l'équipe scandinave égalise à 16-16 en quelques minutes puis s'envole au score, notamment grâce à la gardienne Silje Solberg (onze arrêts dont sept consécutivement en deuxième période). La France traverse alors un « trou noir »[7], encaissant un 19-5 en l'espace de 30 minutes pour finalement s'incliner 29-22[8],[9]. L'évolution du score est :
Pour des raisons techniques, il est temporairement impossible d'afficher le graphique qui aurait dû être présenté ici.
Classement final
Les équipes sont classées selon les critères suivants :
Places 1 à 4 : suivant leurs résultats lors de la finale et du match pour la troisième place ;
Places 5 à 8 : suivant leur classement lors du tour principal, puis le nombre de points marqués et enfin la différence de buts ;
Places 9 à 24 : les équipes ayant terminé troisième du tour principal sont classées de la 9e à la 12e place, les quatrièmes de la 13e à la 16e place, les cinquièmes de la 17e à la 20e place place et les sixièmes de la 21e à la 24e place. Pour départager les quatre équipes, il faut considérer :
le nombre de points gagnés (lors du tour principal) ;
la différence de buts lors du tour principal ;
le plus grand nombre de buts marqués lors du tour principal ;
le cas échéant, les équipes sont départagées en fonction du nombre de points marqués, puis de la différence de buts et enfin du plus grand nombre de buts marqués lors du tour préliminaire ;
en dernier recours, le départage est fait au tirage au sort.
Places 25 à 32 : suivant leurs résultats lors des matchs de la Coupe du président.