Il rassemble plusieurs quartiers clermontois dont ceux de l'Oradou, de la Cartoucherie, et de Lafayette.
Histoire
De 1833 à 1845, les cantons de Clermont-Sud et Clermont-Est avaient le même conseiller général. Le nombre de conseillers généraux était limité à 30 par département[3].
En 1982, le canton de Clermont-Ferrand-Sud était scindé en quatre autres cantons : Clermont-Ferrand-Centre, Clermont-Ferrand-Sud, Clermont-Ferrand-Sud-Est et Aubière. Le périmètre du canton est délimité par « l'axe des voies ci-après : à l'Ouest, la rue de Rabanesse ; au Nord, boulevard Gergovia, avenue des Paulines, rue Anatole-France ; à l'Est, par les limites des sections cadastrales ES-CE (lieu-dit La Tiretaine) ; par les limites des sections cadastrales ES-EL (traversant la rue de la Pradelle) ; par la limite des sections cadastrales ER-EM ; par l'axe des voies suivantes : impasse de l'Oradou, rue de l'Oradou, rue Fernand-Raynaud, boulevard La Fayette, rue des Meuniers ; au Sud, rue des Chambrettes, avenue Léon-Blum, rue de la Rotonde (jusqu'à la ligne de chemin de fer Bordeaux – Clermont-Ferrand), la ligne de chemin de fer (jusqu'à la rue Étienne-Dolet), la rue Étienne-Dolet (jusqu'à la limite de la commune de Beaumont)[1] ».
En mars 2015, après les élections départementales, le nombre de cantons dans la ville de Clermont-Ferrand a été réduit de 9 à 6. Les dénominations et périmètres des cantons de la ville sont modifiés[2].
Administration
Résultats électoraux
En 2008, Serge Lesbre a été réélu au second tour avec 66,49 % des voix ; il bat Corine Aubriet (UMP). Le taux de participation est de 48,51 %[4].
Liste des conseillers généraux du canton de 1833 à 1982
↑Il était le fils d'un général de l'Empire, le baron Joseph Charras (1769-1839), que la Restauration mit en disponibilité. Élevé dans des sentiments hostiles aux Bourbons, le jeune Charras, qui, après de brillantes études au collège de Clermont-Ferrand, était entré à l’École polytechnique, fut expulsé de cette école trois mois avant la révolution de 1830, pour avoir, dans un banquet d’étudiants, porté un toast à La Fayette et chanté la Marseillaise. Dans les journées de juillet, il fut aux premiers rangs des combattants des barricades, contribua avec plusieurs de ses camarades à la prise de la caserne de Babylone, à colle de l'Hôtel-de-ville et des Tuileries, fut nommé aide de camp de la commission municipale, puis, ses études terminées à l'école d'application de Metz, devint lieutenant d'artillerie, et entretint des relations suivies avec les chefs de l'opposition démocratique. (source : http://la13regionmiltaire.pagesperso-orange.fr/par%20C.htm