Au cours d'un raid meurtrier sur le quartier général de l'organisation Septembre noir à Beyrouth, le major israélien Kabakov épargne Dahlia Lyad. La jeune femme vient d'enregistrer un message à destination de l'Amérique dans lequel elle parle d'un attentat meurtrier à venir. Aux États-Unis, Kabakov entre en contact avec Corley, du FBI, pour le prévenir du danger. Pendant ce temps, à Los Angeles, Dahlia retrouve Michael Lander, un pilote traumatisé par la guerre.
Fiche technique
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Le réalisateur a pu bénéficier du soutien de l'entreprise Goodyear, avec laquelle il avait entretenu de bonnes relations sur le tournage de Grand Prix (1966). La marque de pneumatiques a ainsi fourni à la production du film trois énormes ballons dirigeables publicitaires[1].
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Pour le magazine Télé 7 jours, Black Sunday est un film d'espionnage à « l'idéologie contestable ». Néanmoins, le spectateur peut « se contenter du spectacle présenté : suspense, violence et happy-end, les meilleurs atouts du film »[3].
Le film fut un succès mais le cinéaste déplorera le manque de temps et d'argent indispensable à la finalisation des effets spéciaux[réf. nécessaire].
Commentaires
Sortie vidéo et diffusion en télévision
Black Sunday n'est toujours pas édité en plus DVD zone 2. () mais une version zone 1 (en & doublé fr) existe depuis 2003[réf. nécessaire].