L'avenue du Général-Eisenhower correspond à la route départementale 120a.
Voies rencontrées
L'avenue du Général-Eisenhower rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :
L'avenue du Général-Eisenhower est largement desservie par les transports en communTisséo. Elle est parcourue sur presque toute sa longueur par les lignes de bus2553. Dans sa première partie, au carrefour de la route d'Espagne se trouvent également les arrêts des lignes du LinéoL5 et du bus 117. Dans sa deuxième partie, à partir de la route de Seysses, elle est également desservie par plusieurs lignes : le Linéo L4 jusqu'au chemin de Lestang, et les bus 495058 jusqu'à l'avenue Paul-Ourliac. Dans sa dernière partie, elle est encore empruntée, jusqu'au chemin de Basso-Cambo, par la ligne de bus 87. Enfin, au carrefour de la route de Saint-Simon se trouve de nouveau les arrêts de la ligne 58.
no 134 : NXP Semiconductors. En 1967, le ministre de l'ÉconomieMichel Debré autorise l'entreprise américaine Motorola a ouvrir une usine de production de semi-conducteurs – il s'agit alors de la première usine Motorola construite hors des États-Unis. Les premiers bâtiments sont construits la même année par l'entreprise américaine Austin Europe, après que les préconisations architecturales de Georges Candilis ont été écartées[5],[6] : elle évoque les bâtiments de l'usine de Fort Lauderdale en Floride[7]. En 1998, l'usine emploie encore 2 500 personnes. Mais entre 1999 et 2004, l'entreprise Motorola se sépare de sa branche Motorola Semiconductor, qui devient ON Semiconductor, puis Freescale Semiconductor. L'entreprise annonce cependant, dès 2009, sa volonté de fermer l'usine de production toulousaine et le site est abandonné en aût 2012. Finalement, en 2015, l'entreprise est rachetée par l'entreprise néerlandaise NXP[8] : en 2017, elle emploie 450 personnes dans la conception des puces électroniques destinées à l'automobile et aux télécommunications[9]. La plus grande partie du site industriel est, après dépollution, cédé à des promoteurs immobiliers[10].
Parcs d'activités du Chapitre
Le parc d'activités du Chapitre est un parc industriel, d'une superficie de 109 hectares, compris entre le chemin des Silos au nord, la route d'Espagne à l'est, les voies ferrées de la ligne de Toulouse à Bayonne à l'ouest, et la limite de la commune de Portet-sur-Garonne au sud[4]. Il regroupe plusieurs entreprises du secteur industriel.
↑ a et bParcs d'activités de la Haute-Garonne, sur le site de l'Agence d'urbanisme et d'aménagement Toulouse aire métropolitaine (AUA-T) (consulté le 29 mai 2023).
Louis-Emmanuelle Friquart et Annie Noé-Dufour, Les Quartiers de Toulouse. Le Mirail. Le projet Candilis, coll. « Itinéraires du Patrimoine », no 322, Accord édition, 2006 (ISBN2-908695-53-7).
Stéphane Gruet et Rémi Papillault (dir.), Le Mirail. Mémoire d'une ville, Éditions Poïésis - A.E.R.A., 2006 (ISBN978-2-917138-02-1).