Sa ville natale est conquise par l’Union soviétique à l’issue de la guerre de Continuation alors qu’il n’a que 9 ans. Il étudie d’abord le violon et le piano. Il se passionne autant pour le jazz que pour la musique classique. Très créatif, il improvise dès l’adolescence avant de se consacrer à la composition.
En 1981, le gouvernement finlandais le nomme « professeur des arts vivants » et lui octroie un traitement qui lui permet de se consacrer à la composition.
En 1955, Aulis Sallinen épouse Pirkko Ainikki Holvisola (1935–1997) et ils auront quatre enfants.
Sa seconde épouse est la soprano Maija Lokka[2].
Œuvres principales
Œuvres symphoniques
Symphonie nº 1 (1971)
Symphonie nº 2 « Dialogue symphonique » (1972)
Symphonie nº 3 (1975)
Concerto pour violoncelle, op. 44 (1977)
Symphonie nº 4, op. 49 (1979)
Ombres, op. 52 (1982)
Musique de chambre pour violoncelle et cordes « Danses nocturnes de Don Juan Quichotte » (1983)
Symphonie nº 5 « Washington Mosaics », op. 57 (1985-1987)
Musique de vie et de mort, pour baryton, chœur et orchestre (1995)
Symphonie nº 6 From a New Zealand Diary op. 65 (1989-1990)
Symphonie nº 7 The Dreams of Gandalf op. 71 (1995-1996)
(fi) Erkki Arni, Ratsumies, Viiva ja Kuningas eli kuvauksia Aulis Sallisen oopperoiden synnystä ja vaiheista, Savonlinna, Savonlinnan oopperajuhlien kannatusyhdistys, (ISBN978-951-9-95541-4)