Après sa naissance, ses parents ont encore cinq enfants : Marie-Antoinette (1874-1891), Marie-Immaculée (1878-1968), Rainier Salvator (1880-1889), Henriette (1884-1886) et Ferdinand Salvator (1888-1891)[4].
Mort
Albert Salvator devient Rittmeister et capitaine au régiment de hussards autrichiens « Prince de Windisch-Graetz » en 1894. Le prince est célibataire. Atteint par la tuberculose pulmonaire, dès les premiers jours de , l'état de santé d'Albert Salvator de Habsbourg-Toscane, qui séjourne en villégiature d'hiver à Gries im Sellrain, près de Bolzano, ne laisse aucun espoir. Il ne quitte plus le lit et sa seule distraction consiste à écouter un pianiste de talent qui joue dans une chambre voisine[5]. Il meurt, dans les bras de sa mère, à Bolzano, le , à l'âge de 24 ans. Il est inhumé dans la « Crypte Ferdinand » Ferdinandsgruft, crypte des Capucins à Vienne[1],[6].
Nicolas Énache, La descendance de Marie-Thérèse de Habsburg, Paris, Éditions L'intermédiaire des chercheurs et curieux, , 795 p. (ISBN978-2-908003-04-8)..
Jean-Fred Tourtchine, Les Manuscrits du CEDRE : L'Empire d'Autriche, vol. III, t. 11, Clamecy, Imprimerie Laballery, , 265 p..
Les générations sont numérotées dans l'ordre de la descendance masculine depuis les premiers archiducs. Au sein de chaque génération, l'ordre suit celui de l'aînesse.