Troisième film des aventures très populaires du personnage d'Ademaï, après Adémaï aviateur (1933) et Adémaï au Moyen Age (1935), la réception du public est immédiatement chaleureuse. Le film attire en effet 458 603 spectateurs dans Paris intra muros sur les 4 derniers mois de 1943 seulement, dans un échantillon des 235 salles sur les 350 que comptait alors Paris[1],[2].
Dans ses interventions à la radio chez Laurent Ruquier, le journaliste et chroniqueur Pierre Bénichou citait souvent Adémaï bandit d'honneur comme un de ses films préférés car le premier qu'il ait vu au cinéma étant enfant.
↑l’Assistance publique, percevait depuis le XVIIe siècle, pour son financement, une taxe, appelée le droit des pauvre et qui était prélevée sur les billets de spectacles de tout types. Le cinéma en faisait donc partie. L’Assistance publique participait à sa collecte, et faisait ainsi des contrôles des entrées et des recettes. C’était suffisamment pris au sérieux pour que le COIC (l’ancêtre du CNC) s’appuie sur les chiffres de l’Assistance pour établir ses statistiques de 1942 à 1944.
Si l’on en croit le listing des archives de l’Assistance Publique, il s’y trouve toutes les entrées de toutes les salles parisiennes depuis 1934
http://www.boxoffice-retro.com/c-est-quoi-c31014694
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