Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie

Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie
Sceau de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie.
Siège de l’Académie au château de Chambéry.
(la) Flores fructesque perennesVoir et modifier les données sur Wikidata
Histoire
Fondation
Cadre
Zone d'activité
Type
Forme juridique
Association déclaréeVoir et modifier les données sur Wikidata
Domaines d'activité
Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire (France), enseignement supérieurVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège
Pays
Langue
Langue de travail
Organisation
Fondateur
Président
Affiliation
Site web
Identifiants
RNA
SIREN
OpenCorporates

L’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, ou plus communément Académie de Savoie, est une institution intellectuelle savoyarde, une société savante, fondée en 1820, ayant pour territoire d'études la Savoie.

Histoire

L'Académie des sciences des belles-lettres et des arts de Savoie est fondée en 1820, afin de doter le duché de Savoie d’une académie à l’image de celle instituée à Turin, capitale des États de Savoie (ou royaume de Sardaigne dit de « Piémont-Sardaigne»). Elle prend le nom de Société académique de Savoie[AdS 1].

Le duché de Savoie a connu l'expérience académique dès le début du XVIIe siècle, avec l'Académie florimontane (1606/1607-1610), fondée notamment par François de Sales, 20 ans avant la création de l'Académie française par Richelieu. Au XVIIIe siècle, la capitale des États de Savoie voient la naissance de l'Académie royale des sciences de Turin. Il faut attendre le début du XIXe siècle pour qu'une partie de l'élite savoisienne, constatant l'absence d'une académie savoyarde digne de ce nom, décide la création d'une nouvelle institution.

Membres de l'Académie en 1870.

Ainsi, en 1815, quatre hautes personnalités du Duché souhaitent « créer une société qui servirait de moteur au progrès matériel, intellectuel et moral » : le futur cardinal Alexis Billiet (1783-1873), évêque de Chambéry, le général comte François de Mouxy de Loche (1756-1837), le sénateur comte Xavier de Vignet, et du chevalier Georges-Marie Raymond (1769-1839), lettré-mathématicien, fondateur du journal Savoie[1]. En 1819, la Société Académique de Savoie est née. Ces fondateurs souhaitent étudier la Savoie et son territoire, ils ouvrent donc leurs recherches à « l'Agriculture, aux Arts Industriels, à la Botanique, à la Chimie, à la Géologie, à la Médecine et à la Pharmacie, à la Météorologie, à la Statistique, à l'Histoire et à la Littérature ».

Afin d'accomplir leur haute mission, ils s'adjoignent quatre collaborateurs de renom : le chanoine Louis Rendu (1789-1858), professeur de physique au Collège Royal de Chambéry et futur évêque d’Annecy, le docteur Jean-François Guilland (1773-1855)[Note 1], vice-protomédecin de la province de Savoie Propre, le docteur Antoine Gouvert (....-1842), et le baron Louis de Vignet des Étoles, intendant du duché de Savoie[Note 2].

Le , la Société académique se voit conférer le titre de Société Royale Académique de Savoie par le roi Charles-Félix de Savoie[AdS 1]. Ce titre sera légèrement modifié en 1848, lorsque le roi Charles-Albert, par décret Royal et lettres patentes souveraines datées du , lui confèrera le titre définitif d'Académie Royale de Savoie[AdS 1].

Lors de la réunion de la Savoie à la France (Second Empire) en 1860 (futurs départements de la Savoie et de la Haute-Savoie), elle devient Académie impériale des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Savoie par décret impérial du [AdS 1]. L'Académie est reconnue une association reconnues d'utilité publique le [5].

Elle prend son nom définitif d'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie en 1870[AdS 1].

Devise et emblème

L’Académie reprend l’oranger et ses fruits comme emblème et la devise Flores fructusque perennes (Toute l'année des fleurs et des fruits) de l’Académie florimontane (1606 à 1610).

Publications

  • Mémoire de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, créé en 1875[6]

Plusieurs séries émanant de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie et qui sont tombées dans le domaine public sont disponibles sur Gallica, la bibliothèque numérique de la Bibliothèque nationale de France :

  1. La première série des Mémoires
  2. La deuxième série des Mémoires
  3. Les troisième, quatrième et cinquième série des Mémoires
  4. La Savoie littéraire et scientifique
  5. Histoire de l'Académie, publiée par Louis Pillet en 1891

Membres de l'Académie

Qualité des membres

L'Académie est composée en 2020[AdS 2] de :

  • 40 membres titulaires (anciennement dit effectif) résidants
  • 15 membres titulaires non résidants
  • 70 membres associés (anciennement dit agrégé) résidants
  • 15 membres associés non résidants
  • des membres correspondants (nombre non contingenté - actuellement 96)

Présidents

Présentation des présidents de l'Académie[AdS 3],[AdS 4],[7] :

Présidence Nom Date d'élection
Eff. : effectif ;
Tit. : titulaire ;
Corr. : correspondant
Éléments biographiques Illustration
2012 —
(en cours)
Jean-Olivier Viout
(1946)
1984 (Tit.) Procureur général honoraire
1992 — 2012 Louis Terreaux
(1921-2015)
1975 Ancien doyen de la faculté de lettres et sciences sociales de l'Université de Savoie.
1984 — 1992 Docteur Pierre Truchet
(1910-1994)
1975 Chirurgien.
Né le à Chambéry et mort en 1994. Membre du conseil d’administration du Parc national de la Vanoise (1963-1991) ; fondateur et président de l’association des Amis du Parc national de la Vanoise (1964-1985)[8], membre de l'Académie Florimontane[9].
1973 — 1984 Maurice Faure
(1900-1988)
1962 Directeur régional des Douanes.
Né le et mort le , à Chambéry, il fut président du Foyer Littéraire et Artistique de Chambéry. Il fut, au titre de sa participation à la promotion de la culture en Savoie, commissaire général du Comité d'organisation des fêtes du Centenaire du Rattachement de la Savoie à la France en 1959-1960. Il est le petit-fils de la poétesse Marguerite Chevron[10],[11].
1968 — 1973 Docteur Paul Tissot (eff.) Né le , à Chambéry, il entame des études de médecines, interrompues lors de la Première Guerre mondiale. Il devient gynécologue et obstétricien. Officier de la Légion d'honneur (1960)[AdS 5].
1967 — 1968 Henri Menabrea
(1882-1968)
.... Conservateur de la bibliothèque de Chambéry, homme de lettres et historien.
Membre de nombreuses sociétés savantes.
1958 — 1967 André Tercinet
(1896-1967)
.... Docteur en pharmacie et ès sciences[12],[13].
1927 — 1958 Charles Arminjon
(1874-1966)
(Corr.) Avocat à la Cour d'appel de Chambéry.
Charles-Joseph-Paul Arminjon est né le et mort le à Chambéry, il est membre de la famille savoyarde Arminjon[14].
1917 — 1926 Emmanuel Dénarié
(1857-1926)
(Eff.) Avocat, poète et dramaturge catholique.
Né le et mort le à Chambéry[15], il est le fils de Gaspard Dénarié, qui fut également membre de l'Académie[16],[17].
1915 — 1917 Comte Eugène d'Oncieu de la Bâtie
(1857-1917)
(Eff.) Officier de cavalerie, homme politique.
Né le et mort le au château de Montgex (Chambéry, Savoie)[18]. Membre du conseil général de la Savoie et président de l'Union Catholique de Savoie
(Armes de la famille d'Oncieu)
1912 — 1914 Baron Clément Chollet du Bourget
(1853-1914)
(Corr.)
(Eff.)
Officier de cavalerie (capitaine au 10e chasseurs à cheval, puis chef d’escadrons au 24e dragons).
Clément Charles-Marie-Joseph Chollet (ou Cholet), baron du Bourget, est né le , il est le fils du baron Francisque Chollet du Bourget[19]. Il meurt en [20]. Auteur d'un ouvrage de référence sur la brigade de Savoie[AdS 6].
1909 — 1912 Joseph Révil
(1849-1931)
(Corr.) Géologue et chimiste de Chambéry.
Joseph Marie Révil est né le à Chambéry et mort en 1931. Membres de plusieurs sociétés savantes[21], dont président de la Société d'histoire naturelle de la Savoie[22],[23],[24].
1900 — 1908 (2) François Descostes
(1846-1908)
(Eff.) Avocat à Chambéry.
1895 — 1900 Général de division Jean-François Borson
(1825-1917)
(Eff.) Général de brigade à Saint-Étienne puis général de division.
1894 — 1895 (2) Chevalier Eugène Courtois d'Arcollières (1846-1931) (Eff.). Vice-président. Adolphe-Étienne-Marie Eugène Courtois d'Arcollières est né le à Chambéry[25] et mort le dans cette même ville. (Armes de la famille Courtois d'Arcollières)
1892 — 1894 (4) Louis Pillet
(1819-1895)
(Agr.)
(Eff.)
Avocat, géologue.
1889 — 1892 (1) Chevalier Eugène Courtois d'Arcollières (1846-1931) (Eff.). Vice-président. Adolphe-Étienne-Marie Eugène Courtois d'Arcollières est né le à Chambéry[25] et mort le dans cette même ville. (Armes de la famille Courtois d'Arcollières)
1887 — 1889 Marquis Charles-Albert Costa de Beauregard
(1835-1909)
(Eff.) Homme politique et historien.
Membre de l'Académie française (1896-1909)
1886 — 1887 (1) François Descostes
(1846-1908)
(Eff.) Avocat à Chambéry.
1881 — 1886 (3) Louis Pillet
(1819-1895)
(Agr.)
(Eff.)
Avocat, géologue.
1879 — 1881 Pierre Victor Barbier
(1828-1898)
(Eff.) Directeur des douanes.
Né en 1828 à Paris et mort en 1898[26],[27].
1877 — 1879 (2) Louis Pillet
(1819-1895)
(Agr.)
(Eff.)
Avocat, géologue.
1876 (2) Comte Amédée Greyfié de Bellecombe (Eff.) Avocat, membre de la Cour d'Appel de Chambéry, homme politique
1873 — 1876 (1) Louis Pillet
(1819-1895)
(Agr.)
(Eff.)
Avocat, géologue.
1870 — 1872 Marquis César d'Oncieu de la Bâtie
(1828-1903)
(Eff.) Né le à Turin (Turin) et mort le au château de Montgex (Chambéry - Savoie)[28]. (Armes de la famille d'Oncieu)
1867 — 1870 Docteur Louis Guilland
(1820-1884)
(Eff.). Vice-président en 1861 Médecin à Aix-les-Bains.
Né le à Chambéry et mort le , il est le fils de Jean-François Guilland, (1773-1855), protomédecin de la province de Savoie Propre, médecin de la Maison royale et parmi les premiers membres adjoints aux fondateurs de l'Académie. Membre de la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie en 1857[AdS 7].
1864 — 1867 (1) Comte Amédée Greyfié de Bellecombe
(1811-1879)
(Eff.) Avocat, membre de la Cour d'Appel de Chambéry, homme politique (Armes de la famille de Greyfié)
1858 — 1864 (3) Marquis Pantaléon Costa de Beauregard
(1806-1864)
(Eff.) Homme politique.
Député de Savoie au Parlement sarde, puis conseiller général de la Savoie, passionné d'ornithologie et archéologie
1857 — 1858 (2) Auguste de Juge
(1797-1862)
(Eff.) Magistrat, poète.
1855 — 1857 (2) Marquis Pantaléon Costa de Beauregard
(1806-1864)
(Eff.) Homme politique.
Député de Savoie au Parlement sarde, puis conseiller général de la Savoie, passionné d'ornithologie et archéologie
1854 — 1855 (2) Alexis Billiet
(1783-1873)
Membre fondateur. Archevêque de Chambéry. Fait « président perpétuel honoraire ».
1853 — 1854 (1) Auguste de Juge
(1797-1862)
(Eff.) (1797-1862) Magistrat, poète.
1850 — 1853 (1) Marquis Pantaléon Costa de Beauregard
(1806-1864)
(Eff.) Homme politique.
Député de Savoie au Parlement sarde, puis conseiller général de la Savoie, passionné d'ornithologie et archéologie
1844 — 1850 (1) Alexis Billiet
(1783-1873)
Membre fondateur Archevêque de Chambéry.
1842 — 1844 Comte Xavier de Vignet
(1780-1844)
Membre fondateur Sénateur au Sénat de Savoie.
1837 — 1842 Comte Charles de Boigne
(1791-1853)
(Eff.) Fils du général-comte Benoît de Boigne, né à Delhi en 1791 et mort le à Chambéry[29],[30].
1820 — 1837 Général et Comte François de Mouxy de Loche
(1756-1837)
Membre fondateur Militaire, entomologiste, et historien régional. (Armes de la famille de Mouxy)

Secrétaires perpétuels

Secrétaires perpétuels de l'Académié[AdS 3] :

Personnalités de l’Académie de Savoie

Une catégorie est consacrée à ce sujet : Membre de l'Académie de Savoie.

Quelques personnalités de l'Académie[AdS 4],[7] :

Période 1820 à 1860
Depuis 1861
  • Eugène Burnier (1831-1870), historien et magistrat[33]. Élu en 1864.
  • le marquis Charles-Albert Costa de Beauregard (1835-1909), membre de l’Académie française (Élu en 1896 au fauteuil 32). Élu en 1865.
  • Charles Bertier (1821-1882), magistrat, journaliste savoyard, ancien gouverneur de la Martinique. Élu en 1873.
  • Amédée de Foras (1830-1900). Élu en 1877.
  • Charles Buet, écrivain journaliste. Élu en 1882.
  • Henry Bordeaux (1870-1963), écrivain, essayiste, membre de l'Académie française (Élu en 1919 au fauteuil 20). Élu en 1903.
  • Henri Petiot, dit Daniel-Rops (1901-1965), écrivain, historien, membre de l'Académie française (Élu en 1955 au fauteuil 7). Élu en 1951.
  • Henry Planche (1915-1998), écrivain, journaliste savoyard[34]. Prix Henri Dumarest de l'Académie française en 1954 pour son essai Cantilène[35]. Prix Béatrice de Savoie en 1977 pour l'ensemble de son œuvre. Élu en 1954.
  • l'abbé Marius Hudry (1915-1994), résistant et historien local. Élu en 1964.
  • Louis Armand (1905-1971), ingénieur, membre de l'Académie française (Élu en 1963 au fauteuil 38). Élu en 1971.
  • Roger Frison-Roche (1906-1999), guide de haute montagne et écrivain. Élu en ?.
  • Paul Gayet-Tancrède, dit Samivel (1907-1992), écrivain, poète, graphiste, aquarelliste, cinéaste, photographe, explorateur et conférencier. Élu en ?.
  • Jacques Lovie (1908-1987), historien savoyard. Élu en 1960.
  • le père Roger Guichardan (1910-1985), ancien directeur du Pèlerin et écrivain. Élu en 1964.
  • André Palluel-Guillard (1940), historien. Élu en 1985.
  • André Laronde (1940-2011), helléniste et archéologue
  • Paul Guichonnet (1920-2018), historien. Membre correspondant de l'Institut de France. Élu en 1986.
  • Pierre Préau, géographe[36]. Élu en 1998. Membre émérite depuis 2016.

Notes et références

Notes

  1. Jean-François Guilland est né le au Châtelard en Bauges et est mort le à Chambéry. Il devient membre effectif le . Il est docteur en médecine et professeur émérite.
  2. Aimé-Louis-Marie Vignet des Etoles est né le et mort le à Naples, des suites du choléra[2]. Sénateur au Sénat de Savoie, il est successivement juge-mage du Chablais, vice-intendant général (1768), intendant particulier de la province de Savoie (1772-1775), intendant du duché d'Aoste (en 1773), puis intendant général de la province de Savoie (1784-1785)[3],[4].

Site de l'Académie

Données du site de l'Académie de Savoie et des Mémoires :

  1. a b c d et e « Chronologie de l'Académie de Savoie », Mémoires, années 2015-2016, neuvième série, tome II, Académie des sciences des belles-lettres et des arts de Savoie, 2017, p.8 ([PDF] lire en ligne).
  2. « L'Académie aujourd'hui », sur le site de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie (consulté en ).
  3. a et b [PDF] Institut des travaux historiques et scientifiques, « Liste des Présidents et Secrétaires Perpétuels de l’Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Savoie arrêtée au 31 décembre 2014 », sur le site de l'Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Savoie, (consulté le ).
  4. a et b « Etat des Membres de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Savoie depuis sa fondation (1820) jusqu'à 1909 », sur le site de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie
  5. Maurice Faure, « Éloge du Docteur Paul Tissot, président de l’Académie », Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, t. XI, no 6,‎ , p. 25-31 (lire en ligne)
  6. Comte Amé d'Oncieu de la Bâtie « Discours de réception : Éloge funèbre du Baron Clément du Bourget, président de l'Académie » (1912), p. 151-172 (lire en ligne).
  7. Louis Pillet, Histoire de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, de 1820 à 1860, Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, Chambéry, imprimerie Ménard, 1888, tome XXVII, pp. 158-162 (présentation en ligne).

Références

  1. André Palluel-Guillard (sous la dir.), Histoire de la Savoie - La Savoie de Révolution française à nos jours, XIXe – XXe siècle, Ouest France Université, , 626 p. (ISBN 2-85882-536-X), p. 206.
  2. Henri Guillemin, Le Jocelyn de Lamartine : étude historique et critique, avec des documents inédits, Paris, Boivin, , 858 p. (lire en ligne), p. 402, note de bas de page.
  3. Notice sur data.bnf.fr
  4. Gian Paolo Romagnani, « Un fonctionnaire savoyard face à la Révolution: le baron Vignet des Etoles », Revue de littérature comparée, no 4,‎ , p. 497-512 et (it) Roberta Rio, Vignet des Etoles : primo intendente sabaudo in Valle d'Aosta : 1773-1784, Aoste, Le Château Edizioni, , 248 p. (ISBN 978-8-88721-441-3).
  5. « Associations reconnues d’utilité publique », sur le site data.gouv.fr.
  6. Notice sur data.bnf.fr.
  7. a et b « Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie », sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques - cths.fr.
  8. Claude Pairaudeau, « Truchet Pierre, Eugène, Marie (1910-1994) », sur le site de l'AHPNE - Histoire de la protection de la nature et de l’environnement, (consulté en )
  9. Revue savoisienne (Volume 136), 1996, p. 87.
  10. Article p. 182, in Dictionnaire d'Amboise. Pays de Savoie. Éditions Amboise. 1989. 2e édition
  11. Collectif, Mémorial de Savoie. Le Livre du Centenaire 1860-1960, publié sous les auspices du Comité d'organisation des fêtes du Centenaire du Rattachement de la Savoie à la France, presse des Imprimeries Réunies de Chambéry, 1959, no 557.
  12. Notice sur data.bnf.fr
  13. Michel Germain, Personnages illustres des Savoie, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-9156-8815-3), p. 541.
  14. Notice sur data.bnf.fr
  15. Revue des lectures, 1926, p. 766.
  16. Jean-Marie Mayeur, Christian Sorrel et Yves-Marie Hilaire, La Savoie, t. 8, Paris, Éditions Beauchesne, coll. « Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine », 1996, 2003, 441 p. (ISBN 978-2-7010-1330-5), p. 153.
  17. Notice sur data.bnf.fr
  18. Notice sur data.bnf.fr
  19. Amédée de Foras, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, vol. 2, Grenoble, Allier Frères, (lire en ligne), p. 65
  20. Suzanne Stelling-Michaud (sous la dir.), Livre du Recteur de l'Académie de Genève : 1559-1878, T. III, Notices biographiques des étudiants : D-G, Librairie Droz, 1972, (ISBN 978-2-60003-194-3), 584 pages, p. 145 (lire en ligne).
  21. Fiche sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques.
  22. « Cote 19800035/250/33269 », base Léonore, ministère français de la Culture
  23. Notice sur data.bnf.fr
  24. [PDF] Léon MORET, « Un géologue alpin Joseph RÉVIL (1849-1931) », Annales des Mines,‎ , p. 42-47 (lire en ligne) ou [PDF] Léon Moret, « Un géologue alpin. Joseph Révil (1849-1931) », in Géologie Alpine (Travaux du Laboratoire de Géologie de Grenoble), Tome 17 no 1, 1933 p. 42-47.
  25. a et b Amédée de Foras, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, vol. 2, Grenoble, Allier frères, 1863-1966 (lire en ligne), p. 173.
  26. Notice sur data.bnf.fr
  27. « Barbier, Victor (1828-1898) », sur Idref (consulté le )
  28. Henry de baron Woelmont, Notices généalogiques : Deuxième série, 1923, 766.
  29. (en) Pratik Gupta (historien amateur), Maratha Generals and Personalities: A gist of great personalities of Marathas, , 190 p. (lire en ligne), p. 31.
  30. [PDF] « Fonds 8J Famille de Boigne (1744-1996) », sur le site des Archives départementales de la Savoie (consulté le )
  31. François Miquet, « Les Savoyards au XIXe siècle - Les premiers présidents et les procureurs généraux », Revue savoisienne,‎ , p. 218-219 (lire en ligne).
  32. (it) Sénat de la République (Italie) - Senatori dell'Italia liberale, « MORIS Giuseppe », sur notes9.senato.it (consulté en )
  33. Notice sur data.bnf.fr
  34. Notice sur data.bnf.fr
  35. Fiche sur le site www.academie-francaise.fr.
  36. Notice sur data.bnf.fr

Voir aussi

Bibliographie

  • Louis Pillet, Histoire de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, de 1820 à 1860, suivie des tables des trente-six premiers volumes des mémoires et des six premiers volumes de documents, t. XXVII, Chambéry, impr. savoisienne / Ménard, (lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes