En , il quitte le Groupe PSA pour diriger le pôle automobile en France d’Arthur Andersen durant trois ans. Il passe ensuite chez McKinsey & Company où il devient directeur associé en 2006 et dirige la recherche mondiale dans le secteur automobile à partir de 2007[1]. En 2010, il est nommé membre du comité mondial qui élit les nouveaux associés[2].
Retour chez PSA
En 2012 au plus fort de la crise du marché automobile, il décide de rejoindre à nouveau le Groupe PSA comme directeur de la stratégie, où il pilote notamment la réflexion sur l’évolution du positionnement des marques Citroën et Peugeot[3].
En , il est nommé directeur général adjoint de Citroën et seconde Frédéric Banzet[4].
En 2014, il devient le premier directeur général de DS Automobiles lors de sa création, sous l’impulsion de Carlos Tavares[5].
Il crée une business unit dédiée aux véhicules connectés au sein Groupe PSA[réf. souhaitée]. Il a la responsabilité de ce département jusqu’au lancement de la marque de mobilité Free2Move.
En , il est remplacé à la direction de DS Automobiles par Béatrice Foucher[8],[9], ex-directrice adjointe de la marque. Bonnefont devient alors chargé d'une étude sur le potentiel de synergies au sein d’un portefeuille de marques, en vue de la fusion du Groupe PSA et de FCA pour former Stellantis[10].
En janvier 2021, il est nommé chief software officer de Stellantis.
Autres activités
Il a une autre activité d’investissements : il était président du Conseil de Surveillance de Trescal jusqu’en [11]. Depuis, il continue d’investir dans des start-ups, telles que Iziwork, et d’en être administrateur.