Il remit sa démission le après avoir été critiqué pour deux déclarations : une blague sur la contamination radioactive proférée lors d’une visite de la zone de la centrale nucléaire de Fukushima et pour avoir comparé les villes évacuées des alentours à des « villes mortes »[2]. Après Ryū Matsumoto, il est le deuxième ministre à devoir démissionner hâtivement pour son sens défectueux de la communication politique dans les mois qui ont suivi le séisme du 11 mars 2011.
Toutefois, comme Hachiro n'appartient pas à une famille ou un groupe prestigieux, certains commentateurs voient dans son cas un exemple de contrôle du pouvoir par les « élites », hommes politiques et journalistes réunis[3].