À Toronto, Max Renn dirige une chaîne de télévision spécialisée dans la pornographie et la violence. Une nuit, un de ses employés, Harlan, parvient à capter une émission brésilienne, Vidéodrome, qui diffuse des scènes reconstituées de meurtres. C'est le début pour Max d'une longue descente aux enfers.
Fiche technique
Titre francophone : Vidéodrome
Titre original : Videodrome
Titres de travail : Zonekiller et Network of Blood
Des trois fins alternatives qui furent tournées, c'est l'acteur James Woods qui sélectionna celle qui fut finalement retenue.
Lors d'une projection test à Boston en 1982, le public avait trouvé le film "incompréhensible". À ce moment-là, le projet durait 1 h 12, bien plus court que sa durée finale (1 h 28)[2].
Accueil
Le film a été un échec commercial, rapportant environ 2 120 000 $ au box-office en Amérique du Nord pour un budget de 5 900 000 $[3]. En France, il a réalisé 226 027 entrées[4].
Il a reçu un accueil critique favorable, recueillant 80 % de critiques positives, avec une note moyenne de 7,2/10 et sur la base de 44 critiques collectées, sur le site agrégateur de critiques Rotten Tomatoes[5].
Vicente Sánchez-Biosca, « Entre le corps évanescent et le corps supplicié : Videodrome et les fantaisies postmodernes », Cinémas, vol. 7, nos 1-2, , p. 73–88 (lire en ligne)