Cependant, la persistance de cet insecticide a été démontrée par des mesures qui ont mis en évidence des concentrations de 770 parties par milliard de résidus de thiaclopride dans le pollen et 560 parties par milliard dans le nectar de ruches situées à proximité de cultures traitées par le thiaclopride[4].
Plusieurs études ont montré un excès de mortalité à la suite de l'interaction entre l'exposition au thiaclopride et l'infection des abeilles à miel par le champignon pathogène Nosema ceranae[4],[5],[6].
↑(en) Michael Schuld et Richard Schmuck, « Effects of Thiacloprid, a New Chloronicotinyl Insecticide, On the Egg Parasitoid Trichogramma cacaoeciae », Ecotoxicology, vol. 9, no 3, , p. 197-205 (DOI10.1023/A:1008994705074, lire en ligne)
↑(en) Cyril Vidau, Marie Diogon, Julie Aufauvre et Régis Fontbonne, « Exposure to Sublethal Doses of Fipronil and Thiacloprid Highly Increases Mortality of Honeybees Previously Infected by Nosema ceranae », PLOS ONE, vol. 6, no 6, , e21550 (ISSN1932-6203, DOI10.1371/journal.pone.0021550, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Vincent Doublet, Maureen Labarussias, Joachim R. de Miranda et Robin F. A. Moritz, « Bees under stress: sublethal doses of a neonicotinoid pesticide and pathogens interact to elevate honey bee mortality across the life cycle », Environmental Microbiology, vol. 17, no 4, , p. 969–983 (ISSN1462-2920, DOI10.1111/1462-2920.12426, lire en ligne, consulté le )