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En 1813, la Prusse retourna son alliance contre l'empereur Napoléon Ier. Au début de la campagne d'Allemagne, Körner s'enrôla dans le Lützowsches Freikorps à Breslau, une unité militaire de volontaires (corps franc) de l'Armée prussienne, pour repousser l'invasion française. Il y retrouva d’anciennes connaissances : Friedrich Ludwig Jahn et Friedrich Friesen. Sur la route de Vienne à Breslau, dans la région de Neustadt, une borne frontaliere prussienne portant un aigle lui a inspiré à écrire un poème : Der Grenzadler (l’Aigle Frontalier)[1].
Son régiment d'infanterie a pris son quartier à Zobten (Sobótka). Le corps a été beni à l'église de Rogau (Rogów) le ; le jour suivant déjà, les troupes commençaient à marcher vers la Saxe. Körner composa dans les camps des poésies pleines de patriotisme, qui lui valurent le surnom de Tyrtée allemand. Il s'est déclaré profondément déçu par le fait que les forces n'étaient pas impliquées dans des batailles majeures, lorsque l'armistice de Pleiswitz a été conclue le . Néanmoins, le à Kitzen près de Leipzig, son régiment se heurte à l'armée wurtembergeoise de Karl von Normann-Ehrenfels et a été en butte à une attaque violente menée par le général Fournier (« l’armistice pour tout le monde, excepté pour vous ! »). Gravement blessé, Körner s'est enfui vers Leipzig ; plus tard, il a récupéré à Carlsbad où il s'est entretenu avec sa marraine Elise von der Recke.
Ses poésies ont été recueillies, d'abord à Vienne en 1814 sous le titre La Lyre et l'Épée, puis à Berlin par Streokfuss et enfin à Leipzig, d'une manière tout à fait complète, par Ad. Wolti (1858).
Le comte Hoyer de Mansfeld ou la bataille de la Welfesholze (Graf Hoyer von Mansfeld oder die Schlacht am Welfesholze) conte populaire qui raconte la Bataille de Welfesholz.
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Bibliographie
Hartmut Brun(de), Theodor Körner und der Krieg an der Niederelbe. Mahn- und Gedenkstätten Wöbbelin – Theodor-Körner-Gedenkstätte (1991)
Erhard Jöst(de), Der Heldentod des Dichters Theodor Körner. Der Einfluß eines Mythos auf die Rezeption einer Lyrik und ihre literarische Kritik. Dans: Orbis litterarum 32 (1977), p. 310–340