Elle est également l'autrice d'ouvrages traitant de sujets tels que le travestissement et l'écriture de l'histoire des femmes et s'exprime assez régulièrement dans la presse en ce qui concerne les faits et les événements liés à la sexualité[3],[4]. Ses derniers travaux portent sur les notions de statut, de filiation et d'hérédité[5].
Publications
Sylvie Steinberg est l'autrice ou la co-autrice de nombreuses publications, dont [6] :
Sylvie Steinberg et Jean-Claude Arnould, Les femmes et l'écriture de l'histoire : 1400-1800. Actes du colloque organisé par le GRHIS tenu à l'université de Rouen en mai 2005, Mont-Saint-Aignan, Publication Univ Rouen Havre & SIEFAR, , 550 p. (ISBN978-2-87775-466-8).
Sylvie Steinberg, « Érotiques », Clio, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, no 31, (lire en ligne).
Sylvie Steinberg, « L'Histoire du travestissement féminin à l'épreuve de la pluridisciplinarité », dans Guyonne Leduc, Christine Bard (dir.), Travestissement féminin et liberté(s), Éditions L'Harmattan, coll. « Des idées et des femmes », (ISBN978-2-296-01562-3), p. 27-38.
Dans cet ouvrage, Sylvie Steinberg évoque le traitement juridique des enfants illégitimes durant la période de l'Ancien Régime en France en évoquant les enfants nés hors mariage comme révélateurs des transformations de la société durant cette période[10],[11].
À travers cet ouvrage collectif dirigé par Sylvie Steinberg, de nombreux spécialistes évoquent l'histoire de la sexualité depuis l’Antiquité en retraçant tous les aspects de la sexualité dans leur diversité[12],[13],[14].
↑Christine Dousset, « Sylvie STEINBERG, La confusion des sexes. Le travestissement de la Renaissance à la Révolution, Paris, Fayard, 2001, 406 pages. », Clio. Femmes, genre, histoire, no 23, , p. 358–361 (lire en ligne)
↑Mathieu Laflamme, « Une histoire des sexualités par Sylvie Steinberg (dir.) », Canadian Bulletin of Medical History, vol. 36, no 2, , p. 472–474 (ISSN0823-2105, DOI10.3138/cbmh.371-062019, lire en ligne, consulté le )