Ces quatre sites couvrent la même tranche chronologique du début du XIXe à la fin du XXe siècle.
Ils condensent, sur un espace réduit, tous les aspects du patrimoine minier, technique et social. Ils se complètent réciproquement. Grand-Hornu et Bois-du-Luc forment le volet « social », Bois du Cazier et Blegny-Mine forment le volet « travail et travailleurs », illustrant à travers l’architecture les relations de pouvoir et l’organisation sociale. (...) Du point de vue architectural, deux sites, Grand-Hornu et Bois-du-Luc, cristallisent d’importants courants internationaux d’architecture et d’urbanisme[2].
Jacques Crul, Jean-Louis Delaet, Gislaine Devillers, Alain Forti, Bruno Guidolin, Robert Halleux, Karima Haoudy, Pierre Paquet, Guillaume Pisella et Maryse Willems, Les sites miniers majeurs de Wallonie, patrimoine mondial, Namur, Institut du patrimoine wallon, coll. « Carnets du Patrimoine » (no 96), , 68 p. (ISBN978-2-87522-037-0).
Thierry Demey, Sur les traces du diamant noir : Histoire du bassin minier franco-belgo, Bruxelles, Badeaux, coll. « Guide Badeaux / Histoire et patrimoine », , 645 p. (ISBN978-2-930609-03-4).