Il est élu sénateur, au poste laissé vacant par Ahmed Abdallah, du à sa démission le [3],[4], plusieurs mois après la déclaration d'indépendance, le jour de son discours pour l'admission des Comores au siège de l'ONU.
Jaffar, ferme partisan de l'indépendance, devient chef de l'État un mois après la proclamation de l'indépendance, à l'issue du coup d'État du et avec l'aide d'Ali Soilih ; il quitte son poste en janvier 1976[2]. Il est également ministre des Affaires étrangères durant cette période[1].
Distinctions
Grand cordon de l'Étoile royale de la Grande Comore[3]