En 2002, Régis de Cacqueray est nommé à la charge de chef du district français de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X. En , il exclut l'abbé Philippe Laguérie de la FSSPX, ce dernier ayant refusé une mutation au Mexique, ordonnée à titre de sanction au regard de son comportement. En effet, Philippe Laguérie a critiqué la formation au séminaire d'Écône, dénonçant une « sévérité incroyable » de Benoît de Jorna, supérieur du séminaire, qui décourage les séminaristes[5].
En tant que supérieur du district de France de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X (FSSPX), il s'investit en de nombreuses activités ; notamment en menant des prières devant l'Assemblée nationale en guise d'opposition au mariage homosexuel, accompagné par l'association Civitas[6].
Le , Régis de Cacqueray quitte la Fraternité Saint-Pie-X pour entrer dans l'ordre des capucins de Morgon, dans le Rhône[7].
Depuis l'été 2018, il est également l'un des aumôniers nationaux du parti politique Civitas et l'un des chroniqueurs de la revue homonyme[8].
↑Gael Vaillant, « Mariage pour tous : la croisade de Civitas », LeJDD.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Le supérieur du district de France de la Fraternité Saint-Pie-X va entrer chez les capucins », La Croix, (ISSN0242-6056, lire en ligne, consulté le )
↑Denys Fretier, « Des catholiques intégristes en séminaire à Bonneuil-Matours », La Nouvelle République, (lire en ligne, consulté le )