Il a dirigé l'unité de renseignements financiers du Liechtenstein de 2004 à 2012[3] et a été vice-président du groupe Egmont de 2010 à 2012[4].
Directeur de l'Autorité d'information financière (AIF) du Vatican depuis novembre 2012 (nommé par le pape Benoît XVI), il s'attache à réformer l'institution et la lutte contre le blanchiment[5]. Il en est nommé président par le pape François le 19 novembre 2014 pour cinq années[3],[6]. Il est la première personne laïque à exercer ce poste jusqu'au 18 novembre 2019[7],[8],[9].
En 2019, il est mis en cause dans une affaire de détournement de fonds et d'usage illicite de fonds du Saint-Siège[10],[11],[12].
Surnommé le "James Bond de la finance"[13], il est depuis consultant indépendant[14].
↑Antonino Galofaro, « René Brülhart, un Suisse sur le banc des accusés du Vatican - Le Temps », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )