Raymond de La Marthonie est issu d'une famille originaire du Périgord. Il est le fils de Gaston et de Françoise de la Bastide, et le neveu de deux évêques : Geoffroy de La Marthonie, évêque d'Amiens et Henri de La Marthonie, évêque de Limoges[1].
Son épiscopat est relativement bref mais très actif. Il publie des statuts synodaux en 1619 et visite son diocèse en 1622. Il favorise également l'installation de nouvelles congrégations religieuses : Carmes déchaussés en 1625, Carmélites en 1618, Clarisses urbanistes en 1619, Ursulines en 1620, Feuillants en 1622, Oratoriens en 1624. Il meurt en 1627 et est inhumé dans la cathédrale devant le grand autel près de son oncle[3].