Le film est l'objet de critiques négatives et s’avère être un échec au box-office : seulement 28 millions de dollars de recettes sur un montant de 105 millions de dollars de budget.
Synopsis
Johnny « Utah » Brigham est un athlète de l'extrême. Lors d'un run à moto-cross pour l'un de ses sponsors, son meilleur ami Jeff meurt après une cascade ratée. Johnny s'en veut terriblement et quitte tout cet univers. Sept ans plus tard, Johnny postule au sein du FBI pour devenir agent fédéral. Il entend alors parler d'une équipe de braqueurs bien particuliers. Ces derniers ont dévalisé un stock de diamants à Bombay en s'échappant en parachute. Au Mexique, ils dérobent dans un avion un stock de billets qu'ils relâchent dans le ciel au Mexique, avant de disparaitre en chute libre directement dans le gouffre des Hirondelles. Johnny sent qu'il peut les appréhender, même s'il n'est alors toujours pas officiellement un agent fédéral. Johnny va alors tenter d'en savoir plus sur ces braqueurs de l'extrême. Il va alors rencontrer le mystérieux et charismatique Bodhi.
Fiche technique
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Titre original : Point Break
Titre français : Point Break sous-titré Le crime n'a plus de limites
États-Unis : PG-13 - Parents Strongly Cautioned (Certaines scènes peuvent heurter les enfants de moins de 13 ans - Accord parental recommandé, film déconseillé aux moins de 13 ans)
James LeGros et BoJesse Christopher, qui incarnaient respectivement les braqueurs Roach et Grommet dans le film original, tiennent ici les rôles d'agents du FBI[15],[16].
La musique du film est composée par Junkie XL. L'album de la bande originale contient cependant davantage de chansons non originales d'artistes electro comme The Avener, Steve Aoki, etc.
Ce sera Courmayeur qui accueillera l'avant-première italienne de Point Break. Plusieurs scènes, comme la vertigineuse descente en snowboard sur les pentes enneigées, ont été tournées sur le Massif du Mont-Blanc et à Valgrisenche. L'avant-première - entre fin janvier et début - s'inscrit dans un projet du Courmayeur Noir in Festival et de la Commission Film Vallée d'Aoste, qui, durant ces jours, feront découvrir les « panoramas » valdôtains aux jeunes producteurs italiens.
Critique
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Dans les pays anglophones, Point Break est largement éreinté par la critique spécialisée, qui obtient 4 % sur le site Rotten Tomatoes, pour 25 critiques et une moyenne de 3,5⁄10[23]. Le site Metacritic lui donne un score de 41⁄100, pour 10 critiques[24].
En France, le film obtient sur le site Allociné une moyenne de 1,4/5 mais pour seulement 3 titres de presses[25]. On peut ainsi lire dans 20 Minutes, sous la plume de Caroline Vié, que « les cascades sont réussies, mais le film d’Ericson Core n’a pas l’étincelle lui permettant de rivaliser avec le classique de Kathryn Bigelow »[25]. Jean Serroy du Dauphiné libéré écrit quant à lui que c'est un « remake d’un film culte, remis à la sauce et au goût du jour par un scénario qui se contente de multiplier les cascades en 3D » et il ajoute qu'« on s’en lasse vite »[25]. Sur le site aVoir-aLire.com, Frédéric Mignard décrit le film comme « un ersatz de Fast and Furious [...] cette catastrophe industrielle consiste en une litanie de cascades spectaculaires à la Torque, sans le second degré de celui-ci »[25].
Box-office
Point Break fait un mauvais démarrage aux États-Unis avec 10 220 000 $ de recettes lors de son premier week-end d'exploitation en salles, ce qui lui vaut de prendre la huitième place du box-office américain[26]. À l'international, le film engrange 79 198 977 $, dont 39 373 838 $ en Chine, où il a occupé la seconde place du box-office durant deux semaines[26].