Il naît en Alsace, que sa famille quitte en 1939, puis fait ses études à Paris, à la Sorbonne et à l'École du Louvre.
Entre 1950 et 1954, il participe à trois campagnes de fouilles à Tell el Far'ah[2].
À son retour de Samarie, il se marie et achève sa thèse de doctorat. Sa thèse, qui porte sur La glyptique mésopotamienne archaïque[3], en particulier sur l'évolution iconographique des sceaux-cylindres, est publiée sous forme d'ouvrage en 1961[4].
↑[compte rendu] Jean Bottéro, « P. Amiet. La glyptique mésopotamienne archaïque », Revue de l'histoire des religions, vol. 167, no 1, , p. 82 (lire en ligne, consulté le )
↑ ab et cFlorence Evin, « La mort de l’archéologue Pierre Amiet », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Pierre Amiet », sur ecoledulouvre.fr (consulté le ).
↑[compte rendu] D. Arnaud, « P. Amiet. L'art d'Agadé au musée du Louvre », Revue de l'histoire des religions, vol. 194, no 2, , p. 181-183 (lire en ligne, consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
Ariane Thomas, « Pierre Amiet (Strasbourg, 29 avril 1922 – Paris, 21 avril 2021) », Syria, no 98, , p. 455-458 (ISSN0039-7946, lire en ligne, consulté le ).