Il prit ensuite du service dans l'armée des Provinces-Unies menacées par Louis XIV, mais ne put garantir ces provinces de la rapide invasion de 1672, ni empêcher le roi de franchir le Rhin à Tolhuis le . Traversé dans ses projets et humilié par le jeune stathouder Guillaume III, il envoya sa démission aux États généraux (1674). Il mourut deux ans plus tard à Hambourg et fut inhumé à Amsterdam en 1679.
Citation
C'est de lui que Boileau dit, dans son épître IV :
« Wurts... ah ! Quel nom, grand roi ! Quel Hector que ce Wurts ! »[2]
Maquette en bois de l'autel en argent de saint Stanislas, vers 1512, l'autel en argent a été détruit en 1657[3]
Projet de sarcophage en argent de saint Stanislas, vers 1630, le sarcophage a été détruit en 1657[4]
Paul Würtz à cheval contre le panorama de Szczecin
↑Nicolas Boileau, Épître IV, vers 144. Boileau ironise sur le nom de Würtz, le déclarant au vers suivant « mal né pour les oreilles », et le comparant à « Skink » (le fort de Schenck, assiégé le 18 et pris par Turenne le 21 juin 1672).