En 1873, muni d'une lettre de référence rédigée par Édouard Manet, il s'installe à Bruxelles en Belgique, où il subit l'influence de Louis Dubois, d'Édouard Agneessens et d'Hippolyte Boulenger. Jean Économou (Ιωάννη Οικονόμου), un négociant grec en vins, lui commande de nombreux tableaux. Il est membre du cercle bruxellois La Patte de Dindon. Pantazis est cofondateur du groupe La Chrysalide, fondé en 1875[2]. Il se lie d'amitié avec le peintre Guillaume Vogels qui l'emploie pendant une année comme peintre décorateur dans son entreprise "Peinture et Décoration". En 1883, il est un des membres fondateurs du groupe bruxellois d'avant-gardeLes Vingt. Périclès Pantazis est également un ami proche du sculpteur Auguste Philippette, dont il épouse la sœur. Son œuvre est reconnue à la fin des années 1870. Il représente la Grèce à l'exposition de Paris en 1878. Périclès Pantazis meurt de la tuberculose à l'âge de 34 ans, à Bruxelles[2].