Cette espèce de riz sauvage tétraploïde (2n=48), au génome de type BBCC, fait partie du pool génique du riz. Elle présente de caractères de résistance à des maladies ou à des insectes dont certains, notamment la résistance à la pyriculariose (ou blast) et à la nielle bactérienne (ou bacterial blight), ont été transférés, par rétrocroisements suivis de sauvetage d'embryons, dans des cultivars de riz cultivé (Oryza sativa)[3].
↑ a et b(en) W.D. Clayton, M. Vorontsova, K.T. Harman & H. Williamson, « Oryza minuta », sur GrassBase - The Online World Grass Flora (consulté le ).
↑(en) Amante-Bordeos A, Sitch LA, Nelson R, Dalmacio RD, Oliva NP, Aswidinnoor H, Leung H., « Transfer of bacterial blight and blast resistance from the tetraploid wild rice Oryza minuta to cultivated rice, Oryza sativa », Theoretical and Applied Genetics, vol. 84, nos 3-4, , p. 345-54 (DOI10.1007/BF00229493, lire en ligne).