Elle est membre de la Prosvita et travaille par la traduction d’œuvres anglophones, françaises ou russes en langue ukrainienne sous le pseudonyme de Olena Zirka.
Elle a commencé ses études à Kiev puis à l'Université médicale d'Etat Pavlov de Saint-Petersbourg pendant lesquelles elle participe à la société secrète Hromada(en), ce qui lui valut d'être emprisonnée[2]. Elle fut médecin de 1910 à 1922 à la Zemstvo de Lotsmanska Kamianka, près de l'actuelle Dnipro.
Elle fuit avec sa famille les soviets et la famine qui sévissait pour s'établir à Mohyliv-Podilskyï où elle devint enseignante. En 1924 elle retournait à Kiev pour être enseignante puis travaillait dans la bibliothèque médicale et scientifique de la ville.
En 1944 elle se rendait à Prague avec un arrêt à Lviv où elle confie le travail qu'elle avait fait sur la vie de sa sœur à Maria Derkach, elle meurt à Augsbourg.
En 1970 fut publié à New York « Леся Українка: хронологія життя і творчости »[3] (Lessia Oukraïnka : Chronologie de sa vie et de son œuvre créative) à partir des écrits d'Olha.