Première citation en 950 autour de l’église de San Pietro et l’oratoire de Santa Marina, la cité fut choisie comme demeure par les comtes Segni de Bologne au XVIIe siècle.
Initialement, en 1860, lors de l'unification de l'Italie, Novafeltria fut rattachée à la région des Marches (province de Pesaro et Urbino). Ce n'est que tout récemment, le , qu'elle en a été détachée, conjointement avec six autres communes[3] du Haut-Valmarecchia, en application des résultats d'un référendum tenu les 17 et , pour être rattachée à l'Émilie-Romagne. Sur cette modification territoriale, pourtant pleinement entrée en vigueur, a pesé jusqu'au le recours de la région des Marches devant la Cour constitutionnelle, qui l'a rejeté pour inadmissibilité, vu son absence de fondement, aucune loi n'ayant été violée ou enfreinte.
De 1922 à 1960, Novafeltria fut reliée par un chemin de fer qui la reliait à Rimini et au littoral de l’Adriatique. Aujourd’hui desservie par un réseau de bus.
Culture et économie
Aujourd’hui, la cité est le centre de toutes les activités économiques de la vallée du Marecchia.
Le hameau de Perticara, ancien centre minier, est le siège d’un musée consacré à l’histoire des mines de soufre (les plus importantes d’Europe), ainsi qu’à des témoignages archéologiques remontant à l’âge du bronze, à la civilisation des Ombriens, Étrusques et des Romains.
À 900 mètres d’altitude, le mont est recouvert d’une châtaigneraie et d’une vaste pinède qui héberge un parc "Aventure".
Théâtre, bibliothèque, discothèque, piscine couverte, cours sportifs divers, piste cycliste, piste moto-cross et camping.
(it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Novafeltria » (voir la liste des auteurs) le 22/06/2012.