Nobles paysans(百姓貴族, Hyakushō kizoku?) est un shōjomanga de Hiromu Arakawa, initialement prépublié dans le Girl's comics magazine(ウンポコ?) entre 2006 et 2009 puis dans le magazine Wings à partir de 2009 et publié par l'éditeur Shinshokan en volumes reliés depuis . La version française est éditée par Kurokawa depuis .
Une adaptation en anime est diffusée de à . Une deuxième saison est diffusée d' à . Une troisième saison est prévue.
Synopsis
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Création
Nobles paysans est inspiré de la jeunesse d'Hiromu Arakawa, qui est issue d'une famille d'exploitants agricoles d'Hokkaidō et qui a travaillé dans la ferme de ses parents de 19 ans à 26 ans, avant d'entreprendre une carrière de mangaka[1].
Manga
Le manga est prépublié entre 2006 et 2009 dans le magazine Girl's comics magazine(ウンポコ?), puis depuis 2009 dans le magazine Wings. La série est publiée en volumes reliés par l'éditeur Shinshokan depuis [2]. Le , 8 volumes ont été publiés au Japon[3]. La version française est éditée par Kurokawa depuis [4].
Une adaptation en anime est annoncée en [5]. La série sera animée par Pie in the sky et réalisée et scénarisée par Yūtarō Sawada. Aayne Matsumoto s'occupe du design des personnages et est directeur d'animation, Ari est chargé des arrières-plans et Precious tone compose la musique. Le générique de fin est Cyan Innocence(シアン・イノセンス, Shian Inosensu?) interprété par FRAM[6]. Le Syndicat central des coopératives agricoles du Japon a supervisé la série pour vérifier le traitement de l'agriculture. La série s'est diffusée du [7] au sur les chaînes Tokyo MX et BS Asahi[8]. Pour les francophones, la série est sortie sur la plateforme ADN[9].
Une deuxième saison est annoncée le [10]. Elle est diffusée à partir du [11],[12]. Le générique de fin est Chōaizoku((寵愛族?) interprété par Sanetii[12].
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Réception critique
En France, Coyote magazine considère que « de ce monceau d'anecdotes, de démonstrations empiriques, de savants calculs d'auto-suffisance alimentaire, de moments de trouille face à des ours (qui pullulent), de blagues sur le caca, de micro-légendes locales, d'épreuves physiques et mentales (à commencer par un emploi du temps impitoyable), bref de l'hallucinante capacité de la mangaka à raconter cette vie par tous les bouts, il ressort un portrait résolument sincère »[1].