Ses reportages et ses portraits critiquent la société ainsi que le pouvoir et lancent une prise de conscience du passé[2].
Biographie
Entre 1955 et 1960, Niklaus Meienberg finit sa scolarité secondaire à l'Abbaye bénédictine de Disentis/Mustèr (Grisons).
En 1960, il part à New York pour travailler dans les bureaux de la coopérative Migros et revient en Suisse l'année suivante après avoir également travaillé comme conducteur de bulldozeur à Vancouver et commence des études d'histoire, d'abord à l'Université de Fribourg, puis à celle de Zurich. Dès 1966, il est correspondant de la Weltwoche à Paris[2].
Ses écrits lui valent d'être banni du quotidien zurichois Tages Anzeiger par son éditeur entre 1976 et 1991. Il travaille aussi pour l'hebdomadaire allemand Stern entre 1982 et 1983[2]. Il se lance alors dans le journalisme indépendant et publie dans deux hebdomadaires suisses, Die Wochenzeitung et Die Weltwoche.