À ce jour, huit mesures non basées sur le décalage vers le rouge (redshift) donnent une distance de 45,362 ± 17,408 Mpc (∼148 millions d'al)[5], ce qui est à l'intérieur des valeurs de la distance de Hubble. Notons cependant que c'est avec la valeur moyenne des mesures indépendantes, lorsqu'elles existent, que la base de données NASA/IPAC calcule le diamètre d'une galaxie et qu'en conséquence le diamètre de NGC 1667 pourrait être d'environ 36,3 kpc (∼118 000 al) si on utilisait la distance de Hubble pour le calculer.
Selon les auteurs d'un article publié en , la masse du trou noir central de NGC 1667 est de 7,59 x 107 (107,88)[6].
Selon un article publié en et basé sur les mesures de luminosité de la bande K de l'infrarouge proche du bulbe de NGC 3227, on obtient une valeur de 107,8 (63 millions de masses solaires) pour le trou noir supermassif qui s'y trouve[7].
Une étude réalisée en auprès de 90 galaxies de type Seyfert 2 utilisant la dispersion des vitesses a permis d'estimer la masse des trous noirs supermassifs centraux de celles-ci. Pour NGC 1667, la masse du trou noir est égale à 76 × 106 (107,88)[8].
Selon une autre étude publiée en et basée sur la vitesse interne de la galaxie mesurée par le télescope spatial Hubble, la masse du trou noir supermassif au centre de NGC 1667 serait comprise entre 100 et 290 millions de [9].
Selon un autre article publié en , plusieurs études de la dispersion des vitesses dans la région centrale ont permis d'estimer sa masse à 7,59 × 107 (107,88)[10].
Selon les auteurs d'un article publié en , la connaissance de la masse d'un trou noir central et du taux d'accrétion par celui-ci permet d'estimer le taux de formation d'étoiles dans la région centrale des galaxies de type Seyfert. Ce taux pour NGC 1667 serait à l'intérieur et à l'extérieur d'un rayon de 1 kpc respectivement de 0,54 /an et de 7,8 /an
[11].
↑John S. Mulchaey, Michael W. Regan et Arunav Kundu, « The Fueling of Nuclear Activity. I. A Near-Infrared Imaging Survey of Seyfert and Normal Galaxies », The Astrophysical Journal Supplement Series, vol. 110, no 2, , p. 299-319 (DOI10.1086/313005, Bibcode1997ApJS..110..299M, lire en ligne [PDF])
↑Jong-Hak Woo et Urry, « ACTIVE GALACTIC NUCLEUS BLACK HOLE MASSES AND BOLOMETRIC LUMINOSITIES », The Astrophysical Journal, vol. 579, , p. 46 pages (lire en ligne [PDF])
↑W. Bian et Q. Gu, « The Eddington Ratios in Seyfert 2 Galaxies with and without Hidden Broad-Line Regions », The Astrophysical Journal, vol. 657, no 1, , p. 159-166 (DOI10.1086/510708, Bibcode2007ApJ...657..159B, lire en ligne [PDF])
↑A. Beifiori, M. Sarzi, E.M. Corsini, E. Dalla Bontà, A. Pizzella, L. Coccato et F. Bertola, « UPPER LIMITS ON THE MASSES OF 105 SUPERMASSIVE BLACK HOLES FROM HUBBLE SPACE TELESCOPE/SPACE TELESCOPE IMAGING SPECTROGRAPH ARCHIVAL DATA », The Astrophysical Journal, vol. 692#1, , p. 856-868 (DOI10.1088/0004-637X/692/1/856, lire en ligne)
↑Andrea Marinucci, Stefano Bianchi, Fabrizio Nicastro, Giorgio Matt et Andy D. Goulding, « The Link between the Hidden Broad Line Region and the Accretion Rate in Seyfert 2 Galaxies », The Astrophysical Journal, vol. 748, no 2, , p. 10 pages (DOI10.1088/0004-637X/748/2/130, Bibcode2012ApJ...748..130M, lire en ligne [PDF])
↑A.M. Garcia, « General study of group membership. II - Determination of nearby groups », Astronomy and Astrophysics Supplement Series, vol. 100 #1, , p. 47-90 (Bibcode1993A&AS..100...47G)